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Nicolas Maure | |
Nicolas Maure, vers 1792 | |
Fonctions | |
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Député de la convention | |
– (2 ans, 8 mois et 29 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Auxerre, Royaume de France |
Date de décès | (à 51 ans) |
Lieu de décès | Paris, France |
Nationalité | française |
Parti politique | Montagnard |
Conjoint | Anne-Marie-Thérèse Salomon Anne-Marguerite Fournier |
Enfants | Huit enfants, dont Jacques Maure |
Profession | Épicier |
Nicolas-Sylvestre Maure, dit Maure aîné, est un épicier et un homme politique français, né le à Auxerre et mort le à Paris.
Biographie
D'origine fribourgeoise, Nicolas Maure est le fils de Jacques-Joseph Maure ou Mauroux, suisse de Mgr de Caylus puis marchand de bois baptisé à Autigny[1],[2]. Né le à Auxerre, il est élevé dans les offices de l'évêché[3], avant de devenir marchand épicier à Auxerre[4].
Second consul d'Auxerre lorsque éclate la Révolution, il est l'un des douze députés du tiers état de la ville élus le pour siéger à l'assemblée de bailliage[5], puis officier municipal dans la nouvelle municipalité en . Chargé d'organiser les élections primaires le [6], il devient administrateur de l'Yonne[4], sous la présidence de Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau ; parmi ses collègues figurent Edme Bonnerot, Pierre Bourbotte, Jean Précy et Louis Turreau[3].
Le , le collège électoral de l'Yonne, dont il est scrutateur avec Turreau, l'élit député à la Convention nationale, au 2e tour de scrutin, avec 61 % des voix[6]. Il est alors deuxième marguillier de Saint-Eusèbe, charge qu'il résigne[7]. Membre du club des Jacobins, il siège sur les bancs de la Montagne[4]. En novembre, il est envoyé en mission en Eure-et-Loir pour apaiser des troubles liés à la liberté du commerce des grains ; le 29 novembre, il signe un arrêté fixant un maximum des denrées de première nécessité[8]. En décembre, lors de l'élection d'une nouvelle municipalité à Auxerre, il s'oppose à Robinet de Pontagny, ancien subdélégué de l'intendant, qui l'emporte[9].
Lors du procès de Louis XVI, il vote la mort sans appel ni sursis, répondant au 1er appel nominal: « En mon âme et conscience, je vote oui » ; au 2e appel nominal: « Lorsque mes commettants m'ont envoyé, ils m'ont dit: Va, venge-nous du tyran, fais-nous de bonnes lois; et, si tu nous trahis, ta tête en répond. J'ai promis, et je tiendrai ma parole; ainsi je dis non » ; au 3e appel nominal : « Louis est coupable ; quand il aurait mille vies, elles ne suffiraient pas pour expier ses forfaits. Je vote pour la mort »[4]. Après l'assassinat de Lepeletier, son ami[10], il donne à la Convention des détails sur l'événement et les derniers moments du défunt[4].
Modéré sur le plan politique, il défend un rapprochement entre Girondins et Montagnards en [8]. De même, hostile à la déchristianisation, il s'oppose à la chasse aux « fanatiques »[8] et combat un projet visant à enlever les cloches dont les rebelles se servent pour sonner le tocsin, observant qu'elles sonnent aussi celui de la liberté[4]. Plus tard, envoyé en mission, il fait rouvrir les églises et relâcher des paysans arrêtés pour avoir fait l'office de chantres[8].
Le , il entre au Comité de sûreté générale[11],[8]. Le 8 septembre suivant, avec Jean-Baptiste Drouet, il dénonce celui-ci devant les Jacobins et demande qu'il soit entièrement renouvelé[12]. La Convention décrète ce renouvellement et sa réduction à neuf membres le 14 septembre[13],[14].
Le 18 juillet, un décret de la convention l'envoie en mission en Seine-et-Marne et dans le Loiret[15] pour y veiller à l'exécution des lois relatives à la vente et à la circulation des grains. Dans un premier temps, de concert avec son collègue, Dubouchet, il prend des mesures énergiques pour contraindre la riche région de la Brie à envoyer régulièrement à la capitale son contingent de provisions. Toutefois, le 21 pluviôse an II (), il rapporte un arrêté de son collègue, visant à remettre à chaque famille pauvre des défenseurs de la patrie 500 fr. pris sur la taxe révolutionnaire, ce qui lui vaut d'être dénoncé devant le Comité de salut public[16],[8]. Après quelques jours passés à Paris en septembre, il se rend le 16 septembre dans l'Yonne, où le Comité de salut public lui écrit, le 22 octobre, pour lui demander d'achever la mission de Pierre Ichon, chargé au début du mois de la levée de chevaux[15].
Puis, le 9 nivôse an II (), le Comité de salut public lui confie la mission d'organiser le gouvernement révolutionnaire en Seine-et-Marne et dans l'Yonne, départements auxquels il ajoute l'Aube le 19 messidor an II ()[15]. À Troyes, il fait libérer plus de 100 suspects, mesure qui lui vaut d'être dénoncé auprès du comité de salut public, auquel on demande son remplacement[8]. À Provins, ce sont 92 suspects, détenus depuis l'automne sur l'ordre de commissaires parisiens trop zélés, comme Rousselin ou Louis Le Bègue Duportail, et dont les Jacobins locaux réclamaient l'élargissement, qui sortent de prison[17]. À Auxerre, c'est le cas d'une trentaine de prisonniers, parmi lesquels Nicolas-Edme Rétif, curé de Courgis et demi-frère de Rétif de La Bretonne[18],[19].
À Paris en pluviôse an II, il passe au scrutin épuratoire du Club des Jacobins le 6 (). Dans ce cadre, interrogé sur son vote dans « l'affaire de Marat », il affirme que celui-ci le nommait son fils et qu'il est encore digne de l'être[20].
Le 23 pluviôse (11 février), les Jacobins reçoivent une lettre de Maure dans laquelle celui-ci indique, de Coulommiers, qu'après les troubles qui ont eu lieu dans le département, il a fait envoyer vingt personnes devant le tribunal révolutionnaire et qu'il en a relâché 180 après les avoir réprimandés et condamnés à rebâtir à leurs frais le local de la société populaire de La Ferté-Gaucher, qu'ils avaient détruit[21].
Le 14 germinal (3 avril), la Convention reçoit une lettre de sa main annonçant de Melun que la vente des biens des émigrés se poursuit avec succès en Seine-et-Marne et que la récolte promet d'être abondante[22].
Le 24 thermidor (11 août), il écrit de Troyes pour signaler l'épuration et la réorganisation de la société populaire et des autorités de la commune. Deux jours plus tard, il envoie de Provins le procès-verbal d'épuration et réorganisation des autorités des cantons du district de Meaux[23].
Rappelé par décret du 26 thermidor (13 août), il est renvoyé pour quinze jours dans l'Aube (où il intervient depuis plusieurs semaines) par décret du 5 fructidor (22 août). Ayant écrit d'Auxerre le 5e sans-culottide (21 septembre), pour annoncer que sa mission était achevée, il rentre à Paris, où il arrive au plus tard le 14 vendémiaire an III ()[15].
Le 3 vendémiaire an III (), Goupilleau lui ayant reproché d'avoir fait relâcher à Troyes 26 prêtres réfractaires et 11 femmes d'émigrés, la Convention reçoit une lettre de Maure, dans laquelle le représentant en mission se félicite d'avoir exercé une longue mission dans plusieurs départements sans que sa conduite ait jamais donné lieu à aucune réclamation et demande que la Convention se fasse mettre sous les yeux les motifs des élargissements qu'il a prononcés. En réponse, Garnier de l'Aube lui reproche, « tout en affectant le rigorisme, [d'avoir] usé, envers quantité de gens, d'une indulgence qu'ils ne méritaient pas. La confusion règne à Tonnerre, parce que Maure y a mis divers nobles en place ». Toutefois, cette accusation est simplement renvoyée devant le Comité de sûreté générale[24],[25].
Fidèle à la Montagne lors de la réaction thermidorienne, il s'exclame, lors de la séance du 21 nivôse an III (), après une dénonciation de Laurent Lecointre contre un administrateur du département de la Manche : « On généralise trop des dénominations odieuses. On a sans cesse à la bouche les mots d'agitateurs et de terroristes ; on s'en sert pour noircir les meilleurs patriotes. Il est temps que la vérité reparaisse et que la justice remette chacun à sa place[26]. »
Le 10 prairial an III (), la commune d'Auxerre envoie à la Convention une dénonciation expliquant[25],[27] :
« Maure a exercé dans le département de l'Yonne le despotisme le plus atroce. Par ses ordres, de nombreuses victimes ont été envoyées au tribunal de Robespierre. Cent soixante détenus ont été accablés de traitements insupportables ; leurs épouses éplorées étaient indignement repoussées et brutalement insultées.
En messidor dernier, Maure consacra la terreur en ordonnant une fête populaire sous le nom de fête de la Terreur. Les instruments de la mort ont été portés en pompe par les satellites de Maure qui, de retour à la Convention, se proclama impudemment le favori de Robespierre. »
Elle parvient devant l'assemblée le 16 prairial (4 juin)[28].
Impliqué dans l'insurrection du 1er prairial an III (), il est dénoncé par Pierre Lehardy comme un ancien partisan de Robespierre, et accusé d'avoir, lors de la journée du 31 mai 1793, pris dans ses bras et porté à la tribune Couthon pour lui permettre de faire plus aisément la motion de proscription des députés girondins. Contrairement à Baudot, Lacoste, Alard, Dartigoeyte, Javogues, Lejeune, Mallarmé, Monestier du Puy-de-Dôme et Sergent, il échappe le 13 prairial (1er juin) au décret d'accusation, l'affaire étant renvoyée au Comité de législation. Mais, ne se faisant pas d'illusion sur le sort qu'on lui destine[4], Maure se suicide à Paris, rue Saint-Thomas-du-Louvre, le , d'un coup de pistolet[29],[30] en laissant un mot sur la table "Je ne suis pas un mauvais homme, j'ai juste été égaré[31].
Famille
Il épouse en premières noces Anne-Marie-Thérèse Salomon, fille de Jean II Salomon et d'Anne-Marguerite Collet, sœur aînée de Marguerite Collet, la « Mme Parangon » de Rétif de La Bretonne[32]. Le , il se remarie avec Anne-Marguerite Fournier[33],[29], l'une des filles de cette dernière, née le [32].
Il a huit enfants. Le deuxième, Jacques Maure, dit Maure aîné après la mort de son père, né le , mort le , est épicier en gros et en détail, place de l'Hôtel-de-Ville. Marié à Laurence Robin le , il est nommé maire d'Auxerre par le commissaire extraordinaire Thibaudeau du 13 mai à , pendant les Cent-Jours. Il est membre du conseil d'arrondissement en 1830 et 1831[34],[35].
Portrait
Jacques-Louis David a peint le portrait de Nicolas Maure. Son arrière-petit-fils, Édouard Maure, ingénieur à Paris, a fait don d'une copie de cette toile au musée d'Auxerre en 1891[36].
Pour aller plus loin
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Michel Biard, Missionnaires de la République, Paris, CTHS, .
- Martine Braconnier et Albert Soboul (dir.), Dictionnaire historique de la Révolution française, Paris, PUF, coll. « Quadrige », , « Maure Nicolas », p. 728.
- Jacques Pimoulle, Le conventionnel Nicolas Maure, 1743-1795, Imprimerie moderne, , 220 p.
- Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, vol. IV, Paris, Edgar Bourloton, 1889-1891 (lire en ligne), p. 320.
Liens internes
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique :
Notes et références
- Daniel Reichel, Le Maréchal Davout, duc d'Auerstaedt, prince d'Eckmühl, 1770-1823, Centre d'histoire, , 442 p., p. 150.
- Nicolas-Edme Rétif de La Bretonne, Monsieur Nicolas, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », , p. 763.
- Annuaire historique du Département de l'Yonne : recueil de documents authentiques destinés à former la statistique départementale, vol. 19, Auxerre, Perriquet & Rouillé, (lire en ligne), p. 307.
- Adolphe Robert, Gaston Cougny (1889-1891), p. 320
- Olivier-Jacques Chardon, Histoire de la ville d'Auxerre, vol. 2, Gallot-Fournier, , 627 p. (lire en ligne), p. 609.
- Patrice Gueniffey et Léo Hamon (dir.), La Révolution à travers un département : Yonne, Éditions MSH, , 391 p., « L'élection des députés de l'Yonne à la convention (1792) », p. 61-92.
- Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Auxerre, vol. 56, 1902, p. 219.
- Martine Braconnier (2005), p. 728
- Claude Hohl, « Les fêtes à Auxerre durant la Révolution », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Auxerre, Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, vol. 106, , p. 130.
- Jean-Pierre Rocher et Léo Hamon (dir.), Du jansénisme à la laïcité : le jansénisme et les origines de la déchristianisation, Éditions MSH, , 245 p. (lire en ligne), « L'évolution politique et religieuse du département de l'Yonne pendant la Révolution », p. 96.
- Gabriel Jérôme Sénar, Sophie Victoire Alexandre de Girardin Bohm (comtesse de), Jean-Antoine Roucher, Alexis Dumesnil, Mémoires sur les Comités de salut public, de sureté générale et sur les prisons (1793-1794), Firmin-Didot et cie., , 545 p., p. X.
- Alphonse Aulard, La Société des Jacobins : recueil de documents pour l'histoire du club des Jacobins de Paris, vol. V : janvier 1793 à mars 1794, Paris, Léopold Cerf, , 720 p. (lire en ligne), p. 393.
- Louis Blanc, Histoire de la Révolution française, vol. 9, Langlois et Leclercq, (lire en ligne), p. 242.
- Philippe Le Bas, France, Dictionnaire encyclopédique, vol. 5, Firmin Didot frères, (lire en ligne), p. 373.
- Michel Biard (2002), p. 550-551
- Edmond Campagnac, « Un curé rouge : Métier, délégué du représentant du peuple Du Bouchet », Annales révolutionnaires, Société des études robespierristes, vol. 6, , p. 476-505.
- Jacques Bernet, « Provins et Montereau fêtent l'abolition de l'esclavage », Annales historiques de la Révolution française, vol. 293, nos 293-294, , p. 511-513 (lire en ligne).
- Nicolas-Edme Rétif de La Bretonne, Monsieur Nicolas, vol. 2, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », , p. 61.
- Philippe Havard de la Montagne, « À propos du curé de Courgis », Études Rétiviennes: bulletin de la Société Rétif de la Bretonne, Société Rétif de la Bretonne, vol. 16 à 19, , p. 75.
- Le Moniteur universel, n° 129, 9 pluviôse an II (), paru dans Réimpression de l'ancien Moniteur : depuis la réunion des États généraux jusqu'au Consulat (mai 1789-novembre 1799), vol. 19, Bureau Central, , 744 p. (lire en ligne), p. 314.
- Alphonse Aulard, La Société des Jacobins : Recueil de documents Pour l'histoire du Club des Jacobins de Paris (janvier 1793 à mars 1794), vol. 5, Paris, Léopold Cerf (lire en ligne), p. 650.
- Le Moniteur universel, n° 195, 15 germinal an II (), paru dans Réimpression de l'ancien moniteur : depuis la réunion des États généraux jusqu'au Consulat (mai 1789-novembre 1799), vol. 20, Bureau Central, , 756 p. (lire en ligne), p. 127.
- Alphonse Aulard, Recueil des actes du Comité de salut public avec la correspondance officielle des représentants en mission et le registre du Conseil exécutif provisoire, vol. 16 : 10 août 1794-20 septembre 1794 (23 thermidor an II-4e jour sans-culottides an II), Paris, Imprimerie nationale, 1889-1910 (lire en ligne), p. 33-34 et 85.
- A. Ray, Réimpression de l'ancien Moniteur, vol. 22 : Convention nationale, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), p. 64 et 99. Il adresse également une lettre au club des Jacobins, qui passe à l'ordre du jour.
- Michel Biard (2002), p. 375 et 379
- Le Moniteur universel, n° 114, 24 nivôse an III (), paru dans Réimpression de l'ancien Moniteur, seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des États généraux jusqu'au Consulat (mai 1789-novembre 1799) avec des notes explicatives, vol. 23, Plon, (lire en ligne), p. 188.
- Nicolas-Edme Rétif de La Bretonne, Monsieur Nicolas, vol. 2, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », , p. 1098, note 1.
- Henri Wallon, Les Représentants du peuple en mission et la justice révolutionnaire dans les départements en l'an II (1793-1794), vol. 5, Paris, Hachette, 1889-1890 (lire en ligne), p. 239
- Jean Charleux, « Pierre Barat-Dalis, un cousin de Marie Noël au XVIIIe siècle », Études Rétiviennes, Société Rétif de la Bretonne, no 23, , p. 36.
- Alphonse Aulard, Paris pendant la réaction thermidorienne et sous le Directoire : recueil de documents pour l'histoire de l'esprit public à Paris, vol. 1 : Du 10 thermidor an II au 21 prairial an III, Paris, L. Cerf, , XVI-777 p. (lire en ligne), p. 764 : « Meurgat, officier de paix, déclare qu'à onze heures de ce jour, le représentant du peuple Maure s'est brûlé la cervelle ; il est mort un instant après. Le commissaire de police de la section des Tuileries a dressé procès-verbal et fait les opérations nécessaires ».
- Villeneuve-sur-Yonne à l'heure de la terreur par Maurice Vallery-Radot, Études Villeneviennes no 30, 2002
- Nicolas-Edme Rétif de La Bretonne, Monsieur Nicolas, vol. 1, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », , p. 1442, note 4.
- Jean Charleux, « Maisons rétiviennes à Auxerre », Études Rétiviennes: bulletin de la Société Rétif de la Bretonne, Société Rétif de la Bretonne, vol. 8 à 11, , p. 53.
- E. Le Gallo, « Les deux missions de Thibaudeau, commissaire extraordinaire dans la XVIIIe division militaire pendant les Cent-Jours », Annales de Bourgogne, Centre d'études bourguignonnes, vol. 16, , p. 94.
- Henri Forestier, « De Louis XV à Louis-Philippe, 1760-1839. Auxerre en 1814 et 1815. Les cahiers d'Étienne Mathieu, enfant de Migé, administrateur du district d'Auxerre, juge de paix de Courson, magistrat de sûreté et juge d'instruction près le tribunal d'Auxerre, auteur d'un Manuel du vigneron », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Auxerre, Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, vol. 95, 1947-1952, p. 54, note 33.
- « Séance du 1er novembre », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, vol. 45, , p. LXIX.