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Elle produit, de 1965 à 1968, en collaboration avec Frédéric Rossif, l'émission Cinéma pour l'ORTF[3]. Militante de gauche et féministe, elle soutient l'indépendance de l'Algérie puis plus tard la cause palestinienne[4] alors qu'elle est issue d'une famille juive[5].
↑Jérôme Bourdon, Le récit impossible : Le conflit israélo-palestinien et les médias, De Boeck Supérieur, 2009, p. 154-155.
↑« Aujourd'hui, je suis juive. Je l'ai déclaré dans le journal Le Monde daté du 31 août 2001. Ainsi c'est officiel, des archives peuvent en témoigner. » [extrait de : Histoire d'un adjectif].
(en) Margaret Anne Hutton, « The writing cure: Marie Cardinal's Les Mots pour le dire and Michèle Manceaux's Grand reportage », in: Epidemics and Sickness in French Litterature and Culture , Durham Modern Language Series, 1995, p. 159-170.
« Michèle Manceaux : biographie, bibliographie, conseil de lecture, entretiens », in Dit de femmes : entretiens d'écrivaines françaises, recueillis par Michèle M. Magill et Katherine S. Stephenson, Summa Publications, p. 149-171, 2003.
Vincent Soulier: Presse féminine : la puissance frivole, L'Archipel (Paris), 2008.
« Manceaux », in Patrick Besson, Mes vieux papiers, Fayard (Paris), 2014, p.