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Naissance | |
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Nom dans la langue maternelle |
Jagdish N. Bhagwati |
Nationalités | |
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Conjoint |
Padma Desai (en) |
Enfant |
Anuradha Bhagwati (d) |
A travaillé pour | |
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Membre de | |
Directeur de thèse | |
Distinctions | Liste détaillée Membre associé de la Société d'économétrie () Lauréats Clarivate des chercheurs les plus cités (en) () Distinguished Fellow of the American Economic Association Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences Padma Vibhushan Docteur honoris causa de l'université libre de Berlin Ordre du Soleil levant Padma Vibhushan in literature & education Bourse Guggenheim |
Jagdish Natwarlal Bhagwati, né le , est un économiste indo-américain, qui s'est intéressé au développement, aux nouvelles théories du commerce international et au libre-échange[réf. nécessaire].
Il a été conseiller aux Nations unies (ONU) en 2000 et à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001[réf. nécessaire]. Il enseigne actuellement à l'Université Columbia.
Jagdish Bhagwati a notamment mis en exergue la notion de « croissance appauvrissante » comme fruit de la dégradation des termes de l'échange, théorisé par l'économiste argentin Raul Prebisch. Celui-là s'inscrit dans le cadre du libre-échange et correspond à une diminution du pouvoir d'achat dont dispose un pays du fait de ses exportations. En conséquence, ce pays devra exporter plus pour pouvoir importer autant qu'auparavant. En cela il y a « croissance appauvrissante » ; un pays épuise plus de ressources pour importer autant car selon l'effet de cliquet, les importations d'un pays ne peuvent sensiblement pas diminuer. Il propose également l'impôt appelé impôt de Bhagwati : impôt ponctionnant les ressources de la diaspora d'un pays vers ses pays d'origine[pas clair].
Après le libre commerce des marchandises, l'intérêt de Bhagwati s'est porté sur les flux de capitaux, de main-d’œuvre, et le phénomène de la mondialisation en général. Son article très controversé contre la libéralisation des flux de capitaux transfrontières, « The Capital Myth », a été publié dans Foreign Affairs peu après la crise financière asiatique. Il souligne que le libre-échange des marchandises se distingue, au plan qualitatif, de celui des flux de capitaux pour la simple raison que ces derniers, causés parfois par des accès de « panique et de nervosité », peuvent être déstabilisateurs et coûteux[pas clair].