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Généralités | |||
Course | 8e Gand-Wevelgem féminin | ||
Compétition | UCI World Tour féminin 2019 1.WWT | ||
Date | 31 mars 2019 | ||
Distance | 136,9 km | ||
Pays | Belgique | ||
Lieu de départ | Ypres | ||
Lieu d'arrivée | Wevelgem | ||
Équipes | 24 | ||
Partantes | 144 | ||
Arrivantes | 101 | ||
Vitesse moyenne | 38,43 km/h | ||
Site officiel | Site officiel | ||
Résultats | |||
Vainqueur | Kirsten Wild (WNT-Rotor Pro Cycling) | ||
Deuxième | Lorena Wiebes (Parkhotel Valkenburg) | ||
Troisième | Letizia Paternoster (Trek-Segafredo) | ||
◀2018 | 2020▶ | ||
Documentation |
La 8e édition de Gand-Wevelgem féminin a lieu le . C'est la cinquième épreuve de l'UCI World Tour féminin 2019. Elle est remportée par la Néerlandaise Kirsten Wild. Elle devient alors la première femme à remporter la course 2 fois après sa première victoire en 2013.
L'épreuve est organisée par Flanders Classics.
Le parcours est similaire à celui de l'année précédente. Le départ est donné depuis la grand-place d'Ypres. Une boucle autour de Poperinge est effectuée. La première côte escaladée est le Banneberg . Le Mont Kemmel est ensuite pris une première fois par le côté dit Belvédère. Le Monteberg est escaladé dans la foulée. La course emprunte les « Plugstreets », secteurs pavés autour de la commune de Ploegsteert. Par rapport à l'année précédente, ce passage est légèrement plus court. Après ce deuxième passage sur le Mont Kemmel, le parcours fait un crochet vers le nord et Ypres pour aller chercher la N8 qui mène ensuite les coureuses directement jusqu'à Wevelgem. Le final est identique à celui des hommes.
Six monts sont au programme de cette édition, dont certains recouverts de pavés [1]:
Mont | Nom | km | Revêtement | Longueur (m) | Pente moyenne | Pente maxi | km de l'arrivée |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Baneberg (nl) | 48,4 | % | % | 88,5 | ||
2 | Mont Kemmel - Belvédère | 56,4 | % | % | 80,5 | ||
3 | Monteberg (nl) | 60,3 | % | % | 76,6 | ||
4 | Baneberg (nl) | 90,4 | % | % | 46,5 | ||
5 | Mont Kemmel - Belvédère | 98,4 | % | % | 38,5 | ||
6 | Monteberg (nl) | 102,3 | % | % | 34,6 |
Vingt-quatre équipes sont au départ[2].
La vainqueur sortante, Marta Bastianelli est en forme et candidate à sa propre succession. En cas de sprint les favorites sont : Kirsten Wild, vainqueur des trois jours de La Panne, Lorena Wiebes, Lotte Kopecky, Chloe Hosking, Lotta Lepistö, Coryn Rivera, Alexis Ryan ou Marianne Vos. Dans une configuration plus ouverte, Ellen van Dijk, Amanda Spratt, Floortje Mackaij ou Gracie Elvin peuvent s'imposer[3].
Un vent fort balaie la course. Cela dissuade les échappées. Le début de course n'est ponctué que par plusieurs chutes. Le peloton reste groupé jusqu'après le passage des Plugstreets. Romy Kasper (Alé Cipollini) attaque à 52 kilomètres de l'arrivée. Elle passe le Baneberg en tête avec 25 secondes puis est reprise. Marta Bastianelli (Virtu) passe à l'offensive dans le Mont Kemmel. Suivie par Katarzyna Niewiadoma (Canyon-SRAM), elle ne creuse pas d'écart mais provoque une sélection puisque le peloton se casse. Dans le Monteberg, des accélérations d'Ashleigh Moolman-Pasio (CCC-Liv) puis encore de Bastianelli ne sont pas couronnées de succès. Le peloton se reforme avec le retour d'un groupe avec de nombreuses sprinteuses : Lotta Lepistö, Amalie Dideriksen, Chantal Blaak ou encore Roxane Fournier.
Sofia Bertizzolo (Virtu) profite du ralentissement du peloton pour attaquer. Daniela Reis (Doltcini-Van Eyck Sport) la rejoint quelques kilomètres plus loin. L'écart monte à 28 secondes. Derrière, d'autres groupes d'attardées reviennent dans le peloton. Bertizzolo et Reis sont reprises dans Ypres à 23 kilomètres de l'arrivée. Le final est ponctué de nombreuses offensives, mais le vent rend les échappées difficiles. Sarah Roy (Mitchelton-Scott), Jip van den Bos (Boels Dolmans) et Demi de Jong (Lotto Soudal Ladies) creusent un petit écart à 6 kilomètres de l'arrivée mais n'ont pas plus de succès que les précédentes tentatives. La formation Sunweb tente également de provoquer des bordures, mais le vent est mal orienté. Le sprint est lancé tardivement par le train de la Trek-Segafredo. Kirsten Wild (WNT-Rotor) s'impose avec une belle marge devant Lorena Wiebes (Parkhotel Valkenburg) et Letizia Paternoster (Trek-Segafredo)[4],[5],[6].
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Source : ProCyclingStats |
Position[7] | 1er | 2e | 3e | 4e | 5e | 6e | 7e | 8e | 9e | 10e | 11e | 12e | 13e | 14e | 15e | 16e à 30e | 31e à 40e |
Classement général | 200 | 150 | 125 | 100 | 85 | 70 | 60 | 50 | 40 | 35 | 30 | 25 | 20 | 15 | 10 | 5 | 3 |
Classement individuelCi-dessous, le classement individuel de l'UCI World Tour à l'issue de la course.
Classement de la meilleure jeuneCi-dessous, le classement de la meilleure jeune de l'UCI World Tour à l'issue de la course.
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Classement par équipesCi-dessous, le classement par équipes de l'UCI World Tour à l'issue de la course.
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Les prix suivants sont distribués[8] :
Position | 1er | 2e | 3e | 4e | 5e | 6e | 7e | 8e | 9e | 10e |
Prix | 1 265 € | 935 € | 625 € | 375 € | 320 € | 275 € | 250 € | 200 € | 185 € | 165 € |
En sus, les coureuses placées de la 11e à la 15e place gagnent 130 €, celles placées de la 16e à la 20e place 100 €.