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Cette liste des familles de la noblesse française rassemble les familles subsistantes d'après les principaux ouvrages de généalogie et notamment l'ouvrage de Régis Valette publié en 2007, complété par d'autres sources qui toutes sont présentées en bibliographie de bas de page.
Définition de la subsistance
Par subsistante, en appui des ouvrages de la bibliographie, les auteurs entendent, toutes les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme). Les familles éteintes en France, mais subsistantes à l'étranger ou devenues étrangères, sont incluses dans cette liste. A contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f.), n'y sont pas incluses.
Éligibilité
Sous l’Ancien Régime, étaient nobles les individus respectant les critères suivants : être membre d'une famille qui descend en ligne masculine, naturelle, sans adoption, et légitime (dans le cadre du mariage), d’un auteur en possession de la noblesse française acquise et transmissible, par acte émanant du pouvoir souverain du territoire français[S 1]. Cette liste reprend ainsi les familles actuellement subsistantes qui descendent d’un membre respectant ces critères le 23 juin 1790.
Signalons toutefois que des auteurs[1] expriment des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression « noblesse d'Empire », sur la notion de noblesse au XIXe siècle et sur la notion de « noblesse inachevée ».
Cas particuliers
Lorsqu'un titre a été attribué sans anoblissement, comme cela se faisait sous l'Empire comme sous la Restauration (contrairement à l'Ancien Régime où un titre ne pouvait être donné à un roturier, à noter que la Restauration a parfois accordé des titres joints d'un anoblissement[2]), il est mentionné : titre sans anoblissement.
Lorsqu'il existe des sources contradictoires, il est alors mentionné : noblesse non consensuelle.
Présentation des entrées
Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible :
l'origine de leur noblesse (noblesse d'extraction, anoblissement par lettres ou par charge, maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, etc) avec la date des actes/décisions de justice ;
en cas de noblesse d'extraction, c'est-à-dire de noblesse officiellement reconnue sans connaître l'acte initial d'anoblissement, la date de l'acte le plus ancien concernant le premier ancêtre connu des membres actuels de la famille ;
le titre de noblesse français lorsqu'il est authentique, régulier, et subsistant, c'est-à-dire actuellement en possession de l'aîné des descendants directs en ligne masculine du premier titulaire dudit titre, ledit titre devant avoir été octroyé par lettres patentes par un souverain français ;
le lieu d'origine (commune actuelle, nom de la ou des provinces) ;
Laage de Bellefaye (de) et de Laage de Meux, secrétaire du roi 1759-1784 et secrétaire du roi 1753-1777 pour deux tiges de la branche de Bellefaye, secrétaire du roi 1718-1738 pour la branche de Meux, ANF (1993).
La Béraudière (de), extraction 1527, Poitou, Touraine[d 3], ANF (1953).
La Biche (de) et La Biche de Reignefort (de), Empire, chevalier en 1813 confirmé 1826, anoblie 1826, Limousin[d 4],[4], ANF (1997).
La Bigne (de), ancienne extraction 1492, anoblissement en 1522, Normandie, (Chaix d'Est-Ange rapporte que la filiation certaine débute en 1492, Robert de la Bigne a été anobli en 1522, suivie de plusieurs maintenues en la noblesse)[d 5], ANF (1961).
Labriffe (de)[d 7], trésorier à Montpellier en 1638, comte en 1810, honneurs de la Cour (refusés par Louis XV mais admis par Louis XVI en 1789 malgré l'avis défavorable de Chérin), Armagnac, ANF (1951).
La Croix de Castries (de) et Lacroix (olim Le Cros alias Lacroux) Cour des aides de Montpellier en 1487, duc à brevet en 1784, rendu héréditaire en 1817 (titre éteint en 1886), comte en 1821, Languedoc[d 14], ANF (1936).
La Fage (de), capitoul de Toulouse 1672, Languedoc[d 19], ANF (1947).
La Faire (de), ancienne extraction 1478, Bourbonnais, Berry, Poitou[d 20], ANF (1948).
La Fare (de), extraction chevaleresque 1206, marquis de La Fare en 1646 (éteint) puis 1757, honneurs de la Cour, éteinte en France en 1957, subsistante en Argentine, Vivarais[6].
La Faverge de Bévy (de) (olim de Fabrica) filiation 1552, docteurs en droit d'Avignon au XVIe siècle (sous le patronyme de Fabrique), Savoie[Foras 1].
La Forest de La Ville au Sénéchal (de), ancienne extraction 1436, Bretagne[LM 3],[Note 2].
La Forest Divonne (de), extraction chevaleresque 1398, comte en 1749, honneurs de la Cour, pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de baron 1827-1831, Savoie[Foras 3],[d 24], ANF (1935).
La Foye (de), anoblie en 1610, Normandie, Bretagne[LM 4],[Note 3].
La Gabbe (de), anoblie en 1721, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1964).
La Garde de Saignes (de), extraction chevaleresque 1397, maintenue 1668, honneurs de la Cour, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1947).
Lagaye de Lanteuil (de), certificat de noblesse délivré par Louis Pierre d'Hozier le , Limousin[réf. nécessaire], ANF (1991).
La Goublaye de Nantois (de) et - de Ménorval (de), extraction 1557, maintenue 1770, Bretagne[LM 5], ANF (1933).
Lagoutte du Vivier (de), secrétaire du roi 1731-?, preuves de noblesse 1784, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1980).
La Hamayde (de), La Hamayde de Lussignies (de) et La Hamaide (de), Parlement de Flandres établi à Tournai puis à Douai 1673-1688, Flandre, Hainaut, Belgique[réf. nécessaire], ANF (2000).
La Haye (de), secrétaire-payeur du roi 1755-1761, Argentan en Normandie[7], ANF (1964).
La Haye (de), secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Normandie[8]. (Non consensuel : noblesse inachevée)
La Motte-Ango de Flers (de)[d 27], secrétaire du roi 1639-1659, marquis de La Motte-Lézeau en 1693, comte de Flers en 1737 (branche de Villebadin, marquis de Flers en 1862, éteinte en 1899), Normandie (Orne)[17].
Larminat (de), Second Empire, baron en 1860 (confirmation d'un titre de 1828), Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1964). Titre sans anoblissement.
La Roche-Aymon (de), extraction chevaleresque 1179, comte en 1817 pour une branche éteinte, honneurs de la Cour, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (1934).
Larquier Rochefort (de) (ou de Larquier-Rochefort), conseiller du roi, bailli et juge royal de Rouffignac, maintenue par Pellot en 1666[22], Malaussanne en Gascogne[23] (Le statut nobiliaire et/ou la subsistance de cette famille ne fait pas l'objet d'un consensus).
Lartigue (de) et Lartigue de Gouyettes (de), extraction, maintenue 1690, Gascogne[réf. nécessaire], ANF (1973).
La Ruë du Can (de), anoblie en 1741, baron de Champchevrier par investiture de fief titré en 1741, Maslacq en Aquitaine, Mansigné, Cléré-les-Pins en Touraine[réf. nécessaire], ANF (1955).
Las Cases (de), ancienne extraction 1453, maintenue en 1668, honneurs de la Cour en 1774[25][réf. non conforme], comte en 1810 et marquis en 1830 pour des branches éteintes , Languedoc, Bretagne[a 11].
La Selle (de) (d'Echuilly), ancienne extraction 1430[LM 23],[Note 19], maintenue en 1771[a 12], Anjou, ANF (1966).
Lavenne de La Montoise (de) et Lavenne de Choulot (de), anoblie (relief) en 1654[a 14], maintenue le [S 7], comte en 1824, Nivernais, ANF (1988) (branche de Lavenne de La Montoise)[36].
Law de Lauriston, reconnue noble en France, maréchal de camp 1780. Comte de Lauriston et de l'Empire 1808, pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de marquis 1817-1831 pour une branche éteinte, Écosse, Île-de-France[Jougla 6], ANF (1993).
Léaumont (de), ancienne extraction[a 14], seigneurs de Puygaillard et de Castille, Guyenne.
Le Boucher d'Hérouville, extraction, maintenue en 1667, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1944).
Le Boucq de Rupilly et -de Beaudignies, anoblie 1640-1651, chevalier héréditaire en 1659, maintenue noble aux Etats d’Artois 1718, vicomte 1817 pour la branche cadette de Beaudignies, Hainaut[44][réf. à confirmer].
Le Bouteiller et - des Haries, ancienne extraction 1478, maintenue en 1669, Bretagne[45], ANF (1940).
Le Bret, anoblie par lettres patentes d'Henri III en 1578[46], maintenue le et le . Comte de Selles par LP de 1727, pour une branche éteinte[47]. Ile-de-France, Normandie (Gisors), ANF (2016).
Le Breton de Vannoise et - de La Perrière, ancienne extraction 1459, honneurs de la Cour en 1786, Normandie[25], ANF (1956).
Le Canu de La Jonquière de Bray, anoblie en 1644, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1969).
Le Carbonnier de La Morsanglière, extraction, maintenue en 1668, Normandie[réf. nécessaire], ANF (2006).
Le Caron de Beaumesnil, Cour des monnaies de Paris 1769, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1967).
Le Caron de Chocqueuse, extraction 1504, maintenue de noblesse par la cour des Aides le pour les branches de la Mothe et de Chocqueuse, puis par Bignon à l'intendance d'Amiens en 1704, Picardie[Jougla 7], ANF (1939).
Le Duchat d’Aubigny, anoblie par L.P. de 1721, admission aux Écoles Royales Militaires le [56], Champagne (Famille éteinte en ligne masculine)[réf. nécessaire], ANF (1936)
Lefebvre de Laboulaye, secrétaire du roi 1785 pour une branche, toujours en charge le 23 juin 1790[8],[a 18],[57],[S 9] (Non consensuel : noblesse inachevée). Une autre branche issue de Louis-Claude est de noblesse inachevée car trésorier de France au bureau des finances de Montauban en 1765[57] (noblesse graduelle), Ile-de-France.
Le Forestier du Buisson Sainte-Marguerite, extraction 1538, admission dans la Maison royale de Saint Louis à Saint Cyr le , Foucrainville en Normandie[réf. nécessaire], ANF (2001).
Léonard de Juvigny, extraction 1582, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1950).
Le Paige de Dommartin, extraction 1585[réf. nécessaire], ANF (1959).
Le Pays du Teilleul, extraction, maintenue en 1701, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1947).
Le Peletier de Rosanbo et - d'Aunay, conseil d'État 1624, honneurs de la Cour en 1790[25], comte d'Aunay en 1810, marquis de Rosanbo en 1822, Maine, Paris, Bretagne, ANF (1952).
Le Pelletier de Glatigny et - de Woillemont, anoblie en 1703, baron de Glatigny en 1817, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1954).
Le Pelley du Manoir, comte en 1814 pour une branche (Pierre Étienne), vicomte en 1816 pour une autre (Charles Marie), Normandie[62],[4][réf. nécessaire], ANF (1949). Titres sans anoblissement pour les deux.
Lepic, Empire, chevalier en 1810, baron en 1814, confirmé, comte en 1818, Languedoc (Montpellier)[63][réf. nécessaire], ANF (1943). Titres sans anoblissement.
Lépinau (de), Empire, chevalier en 1810, baron en 1817, Lorraine (Toul)[réf. nécessaire], ANF (1968). Titre sans anoblissement.
Le Provost de La Voltais, ancienne extraction 1453, Bretagne[LM 49],[Note 38].
Le Provost de Saint-Jean, ancienne extraction 1463, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1975).
Le Rouge de Guerdavid, ancienne extraction 1568, Bretagne (Finistère)[64],[65], ANF (1948).
Le Roux de Bretagne, anoblie en 1775, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1962).
Le Roux d'Emmaleville, secrétaire du roi 1787, toujours en charge le 23 juin 1790, Normandie[8] (Non consensuel : noblesse inachevée).
Le Tourneux de La Perraudière, anoblie en 1769, Anjou[a 25], ANF (2019).
Le Touzé de Longuemar, anoblissement par L.P. de 1410, maintenue par Monfault en 1464 et par Guy Chamillart en 1666[71], Normandie[réf. nécessaire], ANF (1934).
Ligier de Laprade, anoblie en 1817, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1966).
Lignaud de Lussac (de), extraction chevaleresque 1397, maintenue par Tubeuf le [73], honneurs de la Cour 1788[74], Lussac-les-Églises en Marche[réf. nécessaire], ANF (1968).
Loynes d'Autroche (de), Loynes d'Estrée (de), et Loynes de Fumichon (de), deux trésoriers de France successifs à Orléans en 1670, Orléans[a 27], ANF (1958).
Madaillan de Montataire (de), lettres de relief 1659, maintenue en 1667[Jougla 19] (contesté par G. du Mas des Bourboux), réanoblie par la charge de conseiller secrétaire du roi avant 1683[93], Guyenne, Périgord[a 29], ANF (1976).
Magnien de Magnienville (de), anoblie le 20 novembre 1701, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1937).
Maintenant (de), Ancienne extraction 1441. Maintenue noble en 1671, en 1666 à Amiens et le 22 décembre 1699 sur titres de 1441, Preuves pour Saint-Cyr en 1686, Plainval (Picardie) puis Gondreville (Oise)[94].
Malet (de) (charge inachevée au XVIIIe siècle), Empire, baron en 1809 (confirmé en 1816), Périgord[95][réf. nécessaire], ANF (1963). Titre sans anoblissement.
Malet (de) (La Jorie et Roquefort), extraction chevaleresque 1375, honneurs de la Cour, Périgord[a 30], ANF (1977)
Martin de Baudinière, anoblie en 1819, Bretagne[LM 68],[Note 51], ANF (1993).
Martin de Boudard, docteur en droit d'Avignon 1760, Comtat Venaissin (Barbentane)[Jougla 29].
Martin de Compreignac, certificat de noblesse de B. Chérin pour l'obtention d'une sous-lieutenance 1784[101][réf. non conforme], Limousin (Nantiat), ANF (1981).
Mas des Bourboux (du) et du Mas de Paysac[104], ancienne extraction[105], lettres de relief de dérogeance en 1597[106], maintenue en 1647 par la cour des Aides de Bordeaux[a 32], Limousin, Périgord[105], ANF (2004).
Mégret de Devise, secrétaire du roi 1780, en charge le 23 juin 1790, subsistance par les dernières femmes du nom, Dijon[8] (non consensuel : noblesse inachevée).
Menou (de), extraction chevaleresque 1272, honneurs de la Cour, Perche, Berry[a 37], ANF (1939).
Merode (de), prince du Saint-Empire en Belgique, comte de l'Empire en 1809, Allemagne, Belgique, France[116][réf. nécessaire], ANF (1975). (Titre de comte sans anoblissement ; pas de reconnaissance de noblesse en France)
Mérot du Barré, secrétaire du roi 1736-1749, Bretagne (Nantes)[a 38].
Michaud, baron en 1846, Savoie[Foras 9], ANF (1959). (Famille anoblie par L.P. du 18 juin 1846 du roi Charles-Albert de Savoie, conférant le titre de baron héréditaire par ordre de primo-géniture).
Michel d'Annoville, ancienne extraction 1350[a 38], maintenue en 1598 et 1667, Normandie (Cotentin)[120], ANF (1939).
Milhé de Saint Victor (de), secrétaire du roi en la Cour des comptes, aides et finances de Montpellier 1753-1761, Languedoc (Béziers)[réf. nécessaire], ANF (1989).
Moisson de Vaux, secrétaire du roi 1737, baron en 1811, Normandie[réf. nécessaire], ANF (2015).
Molette de Morangiès (de), ancienne extraction 1481, maintenue en 1666, honneurs de la Cour, Gévaudan, Auvergne (Brioude)[a 40], ANF (2005) (famille éteinte en ligne masculine).
Monceau de Bergendal (du), Empire, comte en 1810, confirmé en 1820, Bruxelles[réf. nécessaire], ANF (1975).
Monchy (de), Empire, chevalier en 1808, confirmé en 1814, Ile-de-France (Compiègne)[a 40], ANF (1942). Titre sans anoblissement.
Monteynard (de) (Montaynard, anciennement Aynard)[125], extraction chevaleresque 1336[17] ou ancienne extraction 1415, marquis de Montfrin en 1652, honneurs de la Cour, Dauphiné[a 41], ANF (1934).
Montfort (de), extraction, maintenue au Conseil d'État en 1672, Bretagne (Côtes-d'Armor), [réf. nécessaire], ANF (1962).
Morand, Empire, comte en 1808, Franche-Comté[Jougla 37], ANF (1938). Titre sans anoblissement.
Morand de Confignon (de), anoblie en 1785, Savoie[Jougla 38],[Foras 11], ANF (1967).
Morant (de), anoblie en 1590, maintenue en 1666, honneurs de la Cour, Haute-Normandie, Bretagne[Jougla 39], ANF (1996).
Moras (de), ancienne extraction, reconnue noble en France 1565, Naples, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1981).
Moreau de Bellaing, secrétaire du roi 1787, admission au Collège Mazarin en 1789[129] (du fait de la charge de secrétaire du roi), en charge le 23 juin 1790, Paris[8],[Note 56] (non consensuel : noblesse inachevée).
Moreau de Bonrepos, secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Dauphiné[8] (non consensuel : noblesse inachevée)
Moréal de Brévans, conseiller correcteur en la Chambre des Comptes de Dole au XVIIIe siècle, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF (1962).
Morel de Lacolombe et - de Lachapelle d'Apcher, extraction chevaleresque 1390, maintenue en 1669, Auvergne, Languedoc[130][réf. à confirmer], ANF (1993).
Neufville (de), extraction chevaleresque 1181, branche aînée des barons de Neufville éteinte en 1589, branche cadette protestante exilée vers 1545, un rameau revenu en France vers 1850, Artois, Hollande, Francfort, Paris[143],[144].
Neyrand, secrétaire du roi 1787, en charge le 23 juin 1790, Vivarais/Lyonnais[8] (non consensuel)
Neverlée (de), noblesse belge, reconnue noble en France avec le titre de baron le [S 15], Namur, Picardie.
Neyron de Saint-Julien, secrétaire du roi 1768, (br. cadette baron 1849, éteinte) Forez[Jougla 48], ANF (1993).
Nicol de La Belleissue, extraction 1518, maintenue 1669, Bretagne[Jougla 49], ANF (1948).
Nicolay (de), anoblissement par charge : conseiller au Parlement de Toulouse 1465[Jougla 50],[Note 58],[146] ; branche cadette de Sabran non titrée, ANF (1935).
Noailles (de), extraction chevaleresque 1225, comte d'Ayen 1592, duc de Noailles et pair 1663 (duc d'Ayen 1737, titre d'attente des ducs de Noailles), marquis de Maintenon (1698, 1719), honneurs de la Cour, comte de Noailles et de l'Empire 1811, branche cadette comte de l'Empire 1810, duc de Mouchy 1814, duc de Poix 1815 et pair 1817, Limousin, Ile-de-France[Jougla 53], ANF (1933).
Noblet d'Anglure (de), ancienne extraction 1482, maintenue 1669, 1698, marquis d'Anglure en 1715, comte de la Clayette en 1730, Bourgogne[Jougla 54],[147], ANF (1970).
Nogaret (de), anoblissement par lettres : baron de l'Empire 1810, Quercy, Rouergue[Jougla 55], ANF (1935).
Nompère de Champagny (de), extraction 1588[148], pair héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de baron 1820-1831, Forez, ANF (1933). (Famille éteinte en ligne masculine)[réf. nécessaire].
O'Mahony, ancienne extraction, r.n.f. honneurs de la Cour 1788, Irlande, Franche-Comté[154].
Oncieu de La Bâtie (d'), et de Chaffardon, extraction chevaleresque 1316, marquis de La Bâtie 1669, marquis de Chaffardon 1682, Savoie[Foras 13],[a 48], ANF (1950).
Ortoli, Ortolo famille de Sartène. Issue du Comte Giulio Ortoli d'Ancône, venu en Corse en l'an 773. Reconnue noble par arrêt du Conseil Supérieur de la Corse du , établissant la filiation depuis Ghjucante, Ottaviu et Ghjuvanninellu Ortoli, vivants au XVIe siècle[a 49].
Panou de Faymoreau, chambre des comptes de Bretagne 1744-1765 et 1770-1791, certificat de noblesse d'Antoine Marie d'Hozier de Sérigny le [LM 82], Faymoreau en Poitou, ANF (1965).
Panthou (de), maintenue de noblesse par Montfaut en 1463, Normandie, Calvados[réf. nécessaire], ANF (1942).
Parc (du) (de Barville), ancienne extraction 1403, honneurs de la Cour, Normandie[LM 83], ANF (1934).
Pascal (de), anoblie en 1750, Languedoc, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1978).
Pasquier de Franclieu, noblesse prouvée depuis 1561, maintenue à Melun en 1665, marquis par L.P. de 1767 (pour un rameau éteint le ), Ile-de-France, Bigorre[réf. nécessaire], ANF (1966).
Paultre de Lamotte, baron de l'Empire par L.P. du [164], vicomte en 1845 (sur réversion d'un titre de 1823) sous la monarchie de Juillet, Gien en Orléanais, ANF (1961).
Pavret de La Rochefordière, secrétaire du roi 1788-1789, Bretagne (Nantes)[LM 86],[Note 66], ANF (1945).
Peguilhan de Larboust de Thermes (de), ancienne extraction 1484, maintenues de noblesse d'extraction en 1668 et 1700[Jougla 72], honneurs de la Cour en 1751[166][réf. non conforme], Betbèze en Comminges, ANF (1955).
Peloux de Praron (du), et Peloux de Saint-Romain (du), ancienne extraction 1456, Vivarais[réf. nécessaire], ANF (1947).
Penet de Monterno, secrétaire du roi 1710[a 50], comte en 1754, Dombes, ANF (1951).
Penfentenyo de Cheffontaines (de), et - de Kervéréguin, extraction chevaleresque 1393, honneurs de la Cour, baron de Cheffontaines en 1680, Bretagne[LM 88], ANF (1968).
Penguern (de), ancienne extraction 1427[LM 89],[Note 67], maintenue en 1669 à Rennes, baron en 1813 et 1818, Bretagne (Finistère), ANF (2003)[168].
Perthuis de La Salle (de), secrétaire du roi 1653, Poitou[a 52].
Pérusse des Cars (de), extraction chevaleresque 1281, honneurs de la Cour, comte en 1817, duc en 1825 (sans lettres patentes), Limousin[réf. nécessaire].
Pierre de Bernis (de), -et de Bernis de Marsac, -et de Bernis-Calvière, extraction chevaleresque 1378, honneurs de la Cour, Vivarais[réf. nécessaire], ANF (1962).
Pillot-Chantrans (de) et -de Pillot-Coligny, anoblie (confirmée) 1494[a 53], marquis de Pillot-Chantrans (1780) pour une branche, comte du Saint-Empire (1761) pour la branche Pillot-Coligny, Franche-Comté, ANF (1938).
Pin de La Guérivière (du) (alias Dupin de La Guérivière), même famille que Dupin de Saint-Cyr (q.v.), ancienne extraction 1433, maintenu 1667, vicomte 1828 (à titre personnel : éteint), Poitou, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1954).
Pin de Saint André (du), cour des aides de Bordeaux 1643, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1951).
Plessis d'Argentré (du), ancienne extraction 1425, maintenue en 1668 à Rennes, honneurs de la Cour, marquis en 1819, Bretagne (Ille-et-Vilaine)[a 56], ANF (1936).
Plessis de Grenédan (du), ancienne extraction 1420, marquis en 1747, honneurs de la Cour, Bretagne (Saint-Malo)[LM 92], ANF (1969).
Plessis de Pouzilhac (du) (aliasDuplessis de Pouzilhac)[d 34], (charge inachevée au XVIIIe siècle)[a 57], Restauration, baron par L.P. de Louis XVIII en date du , Vallabrègues en Languedoc, ANF (2002)[184].
Polignac (de), olim de Chalencon, extraction chevaleresque 1205, duc en 1780, honneurs de la Cour, une branche puinée est souveraine de la principauté de Monaco depuis 1949, Velay[a 58], ANF (1936).
Pont de Compiègne (du), maintenue de noblesse 1667, preuves de noblesse délivrées le par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles Militaires, Béarn, Champagne, ANF (2013)[186].
Pontville (de), arrêt du Conseil 1668 sur preuves de 1514, preuves pour Saint-Cyr 1686[réf. nécessaire] (sources non consensuelles, absente du « Valette »)
Port de Pontcharra (du), anoblie en 1612, Savoie, Dauphiné[190], ANF (1945).
Portalis, anoblie par L.P. de mai 1723[191], noblesse d'Empire 1808, comte en 1809, pair de France héréditaire en 1819 (L.P. de baron-pair en 1820), Provence[192], ANF (1939).
Portes (de), extraction 1547, marquis en 1747, Hérault, Toulouse[Jougla 81] (éteinte en ligne masculine).
Portes de La Fosse (des) (olim Desportes), secrétaire du roi 1779, en charge le 23 juin 1790, Maine[8] (non consensuel)
Portier de Villeneuve (de), anoblie en 1651, Champagne, Lorraine[a 59].
Pujo de La Fitole (de), déchargé du droit de franc-fief à l'intendance de Montauban le , marquis de Lafitole par L.P. de [198], Lafitole en Béarn, Bigorre (Vie), ANF (1977).
Puniet de Parry (de), extraction, maintenue 1675, Quercy[Jougla 87].
Quengo de Tonquédec (de), extraction chevaleresque 1390[a 66], maintenue en 1669 à Rennes, honneurs de la Cour en 1765 et 1782, Bretagne[17], ANF (1949).
Quentin de Coupigny, extraction, maintenue en 1605, Normandie (Cotentin)[a 67].
Quesnel, secrétaire du roi 1781-1787, Normandie (Rouen)[Jougla 90], ANF (1956).
Rafélis de Saint-Sauveur (de) - et - Raphélis-Soissan (de), Conseiller en la chambre des comptes de Montpellier en 1553, honneurs de la Cour en 1766, baron de l'Empire par L.P. du , Milanais, Provence, ANF (2014).
Raffin de La Raffinie, extraction 1504, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1962).
Raguenel de Montmorel (de), Restauration, anoblie (maintenue) en 1819[a 69], Bretagne, ANF (1994).
Raguet de Brancion de Liman (de), extraction 1567, comte en 1861 pour une branche éteinte, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1962).
Reille et -Soult de Dalmatie, comte de l'Empire 1808, pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de baron 1815-1831, une branche cadette relève Soult de Dalmatie en 1910, Provence[réf. nécessaire], ANF (1947).
Reinach Foussemagne (de) -, Wert, - et, Hirtzbach, extraction chevaleresque 1210, baron de Reinach Foussemagne et du Saint-Empire 1635, comte de Granvelle Foussemagne et du Saint-Empire 1718, Alsace[réf. nécessaire], ANF (1937).
Rémond du Chelas (de), Chambre des Comptes de Grenoble 1675, Dauphiné, Bretagne (Langoëlan)[LM 107].
Remÿ de Campeau, secrétaire du roi 1747-1767, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1936).
Renusson d'Hauteville (de), anoblie en 1703, révoqué en 1715, conseiller secrétaire du roi en 1777 près la chancellerie de la Cour des Aides de Clermont-Ferrand, mort en charge, Maine[Jougla 97].
Rességuier (de), anoblissement graduel au XVIIe siècle par la charge de conseiller au parlement de Toulouse[205], comte et marquis , maintenue noble et [S 18], Rouergue[Jougla 98], Toulouse, ANF (2016).
Retz de Servies (de), extraction 1525, Gévaudan[réf. nécessaire], ANF (1984).
Revel du Perron (de), cour des comptes de Grenoble, 1644, Dauphiné[206],[a 70].
Richer de Forges, anoblie en et maintenue noble en 1666[Jougla 100],[S 19],[LM 109],[Note 77], Normandie, Bretagne (anoblie en 1742 selon Régis Valette)[a 72], ANF (1995).
Riquet de Caraman (de) et- de Caraman-Chimay, anoblie en 1666, honneurs de la Cour, duc en 1830, Languedoc (Béziers), Toulousain, Ile-de-France, Belgique[Jougla 102], ANF (1938).
Riston, secrétaire du roi 1775-1785, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1949).
Rivals de Boussac et - de Mazères (de), ancienne extraction 1403, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1956).
Rochechouart (de), extraction chevaleresque 980 (nom apparu 1037), duc de Mortemart en 1650 (branche cadette), honneurs de la Cour, Limousin[a 74],[LM 115], ANF (1939).
Rodez Bénavent (de) (anciennement de Bénavent sans preuve de rattachement aux comtes de Rodez), extraction médiévale 1278 mais filiation suivie 1507, honneurs de la Cour en 1784 (date du changement de nom et d'armoiries)[d 36], Rouergue, ANF (1938).
Ronseray (de), baron en 1818, Bretagne, Saint-Domingue[LM 123],[Note 90].
Roquefeuil (de), - du Bousquet, - Montpeyroux, et - Cahuzac, olim de Blanquefort, extraction chevaleresque 1393, honneurs de la Cour, Rouergue, Bretagne[Jougla 108], ANF (1938).
Royère (de), extraction chevaleresque 1384, maintenue de noblesse à l'intendance de Limoges par l'Aguesseau en 1666, Royere en Limousin, Périgord[réf. nécessaire][224], ANF (1938).
Roys d'Eschandelys (des), extraction chevaleresque 1253[225], maintenue de noblesse à l'intendance d'Auvergne le par Bernard de Fortia[226], honneurs de la Cour en 1785[227], Le Puy-en-Velay, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1934). (Famille éteinte en ligne masculine).
Rozières (de), anoblie (confirmé) en 1711[a 78] (comme descendant d'un "gentilhomme de Laveline", village dont tous les habitants furent anoblis collectivement en 1476)[a 78], Lorraine, ANF (1948).
Ruault des Courchamps, extraction 1568, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1961).
Rubat du Mérac, secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Dauphiné[8] (non consensuel)
Ruffo de Bonneval de La Fare, olim Roux, anoblie en 1732, marquis de la Fare en 1768[a 79], autorisé en 1814 et 1815 à substituer le nom "Ruffo" à celui de "Roux"[Jougla 110], Marseille, Belgique (famille éteinte en France mais subsistante en Belgique).
Ruinart de Brimont, secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, lettres de noblesse le , vicomte héréditaire par L.P. du [230], Champagne[8],[LM 126],[Note 93], ANF (1985).
Russon (de), extraction, maintenue en 1668, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1985).
Saboulin Bollena (de) (olim Sabolin[233] et Saboulin)[234], un rameau cadet, éteint, se désista de la noblesse le 13 juillet 1667 en la personne de Jean-Baptiste de Sebolin, puis fut condamné en 1698[235], la branche de Signes, éteinte, fut maintenu noble en 1668[a 80],[235], la branche ainée, subsistante, secrétaire du roi en 1704 mort en charge[235], puis obtient des lettres de confirmation de leur noblesse d'extraction en 1747[236], Provence (Signes), ANF (1973).
Saint Méloir (de), ancienne extraction, maintenue en 1668, Bretagne[LM 129],[Note 97], ANF (1947).
Saint Ours (de), extraction, maintenue en 1666, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1991).
Saint Pastou de Bonrepeaux (de), extraction chevaleresque 1397, maintenue de noblesse par Laugeois à l'intendance de Montauban le , Saint-Pastou en Bigorre, Comminges[réf. nécessaire], ANF (1989).
Salivet de Fouchecour (de), extraction 1531, maintenue par arrêt du Conseil d'État à Versailles le [246], Franche-Comté, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (2012)[247].
Savenelle de Grandmaison (de) (alias Desavenelle)[252], maintenue dans ses privilèges de noblesse par L.P. du , baron héréditaire par L.P. du , Péronne en Picardie[253][réf. à confirmer].
Scey-Montbéliard (de), extraction chevaleresque[Jougla 120], ou ancienne extraction 1449[a 85], comte en 1649, honneurs de la Cour 1750, 1762 et 1786, Franche-Comté[254], ANF (1936).
Sevin, Sevin de Bandeville et- de Quincy (de), Chambre des Comptes de Paris (1587-1647). Il y a deux branches : la branche de Bandeville et la branche de Quincy[S 23] ; la tige de Segougnac s'est agrégée à la noblesse au XVIIe siècle et fait ses preuves pour les écoles royales militaires en 1783[S 23], Orléanais, Agenais, Ile-de-France, ANF (1963).
Sèze (de), Restauration, Pair de France héréditaire avec pairie instituée sous le titre de Comte 1815-1831, démission personnelle de la pairie en 1830, titre néanmoins inscrit au registre du sceau en 1869, Guyenne. Seule la branche issue de Raymond de Sèze est titrée[260][réf. nécessaire]. ANF (1937) (pairie et titre sans anoblissement)
Sicard, Cour des comptes de Montpellier 1746-1766 et 1759-1790, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1990).
Simon de La Mortière, noblesse d'Empire 1808, confirmé en 1821, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1938).
Simony (de), anoblie en 1571, Italie, Lorraine, Haute-Marne[a 88]. (éteinte en 1999 en ligne masculine).
Sinéty (de), agrégé deuxième moitié du XVIe siècle (se reporter à la source, pages 589 à 590)[35], condamné ou désistement de noblesse le [262], maintenue de noblesse d'extraction par Le Bret le [263], marquis de Lurcy Lévis par L.P. d', honneurs de la Cour en 1760, Apt en Provence, ANF (1958).
Sonier de Lubac, Restauration, anoblie en 1829, Vivarais[a 89] (Famille éteinte en ligne masculine).
Sorbiers de La Tourrasse (de), ancienne extraction 1434, maintenues 1634 et 1716, Touraine[Jougla 127].
Soualhat de Fontalard (de), extraction 1529, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1993).
Soufflot de Magny, secrétaire du roi 1780, en charge le 23 juin 1790, Bourgogne[8]
Souhy (de), (olim de Gouzian de Saint-Martin de Souhy) anoblie en 1663, confirmée en 1748 et 1773 (Lettres patentes de relief de surannation du enregistrées au Parlement de Bordeaux le , Béarn[réf. nécessaire], ANF (1980). (Famille éteinte en ligne masculine).
Sourdeau de Beauregard, Grand-Conseil 1711-1741, Orléanais, Saumurois[a 90].
Suzannet (de), extraction, maintenue de noblesse à l'intendance de Poitiers le . Baron en 1827 pour une branche éteinte, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1968).
Suzzarelli, r.n.f 1789 (noblesse de Sardaigne 1539), Corse[267].
Taffanel de La Jonquière (de) (olim Tafanel), maintenue de noblesse en 1658 (d'après Chérin), condamnations pour usurpation de noblesse en 1668, 1697 et 1699, confirmation de noblesse en 1749 pour une branche éteinte. Chérin, qui ne parle que de la condamnation de 1697 et comme étant introuvable[268] proposa au roi de donner à la famille une maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, reste à vérifier l'octroi effectif. Albigeois[269], ANF (1935).
Tardieu de Maleissye et Tardieu de Maleissye-Melun, anoblie en 1576[S 24], une branche autorisée à ajouter "Melun" à son nom par décret du [276],[277], Normandie, ANF (1937).
Tassin de Montaigu, secrétaire du roi 1754[a 92], Orléanais, ANF (1954).
Tassin de Villepion et - de Nonneville, secrétaire du roi 1759-1776, vicomte de Nonneville en 1816, Orléanais[a 92], Tassin de Saint-Péreuse, secrétaire du roi 1765[a 92], Orléanais, ANF (1993).
Tassin de Charsonville, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Orléanais[8](non consensuel)
Taupinart de Tilière, Parlement de Paris 1720-1779 et Cour des Aides de Paris 1759, Orléanais, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1933).
Tauzia de Montbrun (de), anoblie en 1703, Agenais[Jougla 135].
Teillard d'Eyry (olim Teillard de Chabrier)[279], Teilhard de Chardin[280], et Teillard de Rancilhac de Chazelles[281], Restauration, anoblie en 1816[282], Auvergne (Cantal)[Jougla 136], ANF (1974), pour les branches T. d'Eyry et T. de Chazelles, et ANF (2005), pour la branche T. de Chardin.
Tillette de Mautort et Tillette de Clermont-Tonnerre, anoblie par lettres en 1577, baron d'Empire en Janvier 1814. La branche ainée joint Clermont-Tonnerre à son nom à la suite d'une adoption de 1816. Picardie[LM 143],[Note 110], ANF (1938).
Turenne d'Aynac (de) et - d'Aubepeyre, honneurs de la Cour, comte d'Aynac en 1813 pour une branche éteinte, (branche naturelle de la famille Roger de Beaufort, anoblie en 1332), Limousin[305], ANF (1935).
Ursel (d'), olim Schetz, anoblie en 1527 par Charles Quint (Pays-Bas espagnols), duc d'Hoboken en 1717 (Pays-Bas autrichiens), comte de l'Empire le , Brabant[réf. nécessaire][306], ANF (2017).
Uston de Villeréglan (d'), olim Duston, baron Duston de Villeréglan et de l'Empire (1813), baron héréditaire 1816, Languedoc (Limoux)[Jougla 147], ANF (2016).
Utruy (d'), olim Dutruy, Empire, baron en 1809, confirmé en 1863, Guyenne[d 37].
Vaissière de la Fage, secrétaire du roi 1775, en charge le 23 juin 1790, Montpellier[8] (non consensuel)
Val (du), ancienne extraction 1437, marquis de Tercis 1685 (pour le rameau aîné, éteint, de la branche de Bordeaux, seule subsistante), Touraine puis Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1977 et 2016)[309].
Val (du) (olim Duval), secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Lorraine[8] (non consensuel)
Val de Bonneval (du), anoblissement par charge 1519, marquis de Bonneval 1677, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1951).
Van Zeller d'Oosthove, secrétaire du roi 1702-1728, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1963).
Vandière de Vitrac (de), - de Bellussière et -d'Abzac, extraction 1541, d'Abzac par adoption de 1828 pour une branche, relève Grant de Bellusière éteint, Périgord[313], ANF (1948).
Varennes Bissuel de Saint-Victor (de), conseiller, notaire et secrétaire en la Cour du parlement de Dombes 1709, Beaujolais (Amplepuis)[314], ANF (1935).
Vaugiraud (de), ancienne extraction 1465, déchargée des droits de franc fief le sur preuves remontant à 1427 par Pierre Brisson, Poitou, Anjou (Le Vaugiraut, commune du Mesnil-en-Vallée)[réf. nécessaire], ANF (1949).
Vignes de Puylaroque (de), ancienne extraction 1492, Marquis de Puylaroque par LP de , Quercy[réf. souhaitée]
Vignet de Vendeuil (de), anoblie par charge en 1757, comte en 1818, (Clérembault de Vendeuil éteint, relevé par décret de 1869), Savoie[Foras 23], ANF (1980).
Villedon de Naide (de) Villedon de Naide et Villedon (de), extraction féodale 1352, maintenue en 1666 (sur titres remontant en 1301), 1667 (sur titres remontant en 1429), en 1699 (sur titres remontant en 1494) et 1715, Poitou[327][réf. à confirmer], ANF (2010).
Villeneuve (de), - Bargemon, - Esclapon, - Trans, - et - Flayosc, extraction chevaleresque 1240, marquis de Trans en 1505, marquis de Flayosc en 1678, honneurs de la Cour, Provence[réf. nécessaire], ANF (1942).
Villers (de) (aliasGraf und Marquis von Villers)[Jougla 154],[Note 123],[329] extraction chevaleresque 1126, Bourgogne, Lorraine et Allemagne, ANF (2001)[330].
Vimal de Saint Pal, Vimal de Murs, Vimal du Monteil, 2 frères anoblis par charge de secrétaire du roi auprès de la Cour des comptes de Montpellier (1762-1783) (Vimal de Saint Pal, Vimal de Murs), un 3e frère est à l'origine de plusieurs branches dont une (Vimal du Monteil et Vimal-Teyras ou de Teyras) est anoblie en 1815[332], Auvergne (Ambert)[333], ANF (2000).
Vimal du Bouchet, secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Auvergne[8] (non consensuel)
Vogüé (de) (olim d'Alès ou d'Alex), extraction chevaleresque 1352 (ou 1275), famille issue en ligne féminine de la première maison de Vogüé éteinte en 1326 et dont la filiation prouvée remontait à 1256[339],[Jougla 158], honneurs de la Cour, baron 1731, branche cadette éteinte baron 1824, autre branche éteinte baron 1829, Vivarais, ANF (1937).
Voinnesson et Voinnesson (de), gentilhomme de Laveline 1476, vote noble à Remiremont en 1789, Lorraine[340].
Waldner de Freundstein (de), extraction chevaleresque 1235, honneur de la cour 1755[25], comte 1748, confirmé 1907, Alsace, ANF (1935).
Wall (de), extraction chevaleresque 1171, r.n.f. 1829, honneurs de la Cour 1751[25], comte 1829[341], Irlande, Bourgogne[342].
Walsh de Serrant, extraction chevaleresque 1174, honneur de la cour 1770[25], comte de Serrant 1755, Irlande, Bretagne[343], ANF (1936). (origine à vérifier)
(Le lien ci-dessus renvoie vers une version archivée de la page d'origine, en date du 2 août 2012)
Notes
↑François de La Forest, sgr d'Armaillé (Maine-et-loire), conseiller au Parlement de Bretagne en 1633. Augustin-Médard de La Forest d'Armaillé, officier au régiment de Royal-Marine, tué par les bleus à Savenay le 8 décembre 1793. Augustin-Marie de La Forest d'Armaillé, émigré à l'armée de Condé en 1791 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 322).
↑Louis de La Forest, seigneur des Chapelles, Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 326).
↑Charles Antoine François de La Foye, noble du Bailliage d'Orbec (Calvados) en 1789, émigré. Eugène Charles François de La Foye, né à Wetzlar (Prusse), en 1795, chef d'escadrons en retraite, médaillé de Ste Hélène. Charles Alexandre Marie François de La Foye, né à Paris en 1839, général d'artillerie, commandeur de la Légion d'Honneur (Henri Frotier de La Messelière, t. 2, p. 356).
↑François de La Guerrande, écuyer, sgr de La Villecoleu, en Saint-Germain-de-la-Mer (Côtes d'Armor), épouse Marguerite de Planche; Veuve, elle obtient la maintenue de noblesse d'extraction en Bretagne pour ses enfants, le 22 novembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 653).
↑Famille d'ancienne noblesse, maintenue noble dans l'élection d'Angoulême en 1666, et en Poitou, en 1700 et 1715 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 432).
↑Famille originaire de Bourgogne, établie dans l'État de Liège, puis en Bretagne. Alexandre de La marzelle, venu en France en 1660, employé au service du roi. Julien-Anne de Lamarzelle, écuyer, sgr de Beaumesnil et du Bas-Coudray, reconnu noble en France (maintenue) en 1752 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 354).
↑Julien Lambert, seigneur de Boisjean, en Comblessac (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 356).
↑Guillaume de Lambilly, seigneur de Lambilly, en Taupont, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668. Pierre-Joseph de L. conseiller au Parlement de Bretagne, l'un des chefs de la conspiration bretonne de Cellamare, en 1718, réfugié en Espagne. Pierre-Gabriel-François, marquis de Lambilly, admis aux honneurs de la cour en 1780 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 359).
↑Antoine de La Motte, chevalier, seigneur de La Motte-Rouge, maintenu noble en Bretagne le 18 janvier 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 125).
↑Mathurin Lamour, seigneur de Lanjegu, en Médréac, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 10 mai 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 365).
↑Charles de La Moussaye, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 23 janvier 1669 (Henri Frotier de La Messelière Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 145).
↑René de Lancesseur, seigneur de La Polinière, maintenu noble en Normandie le 9 septembre 1666. Gabriel-René-André de L., membre de l'assemblée de la noblesse de Normandie pour élire les députés aux États généraux de 1789 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 367).
↑Jacques de Lancrau, maintenu noble en Bretagne, en 1667. Alexis-Henri de L., maréchal de camp, avant 1849 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 371).
↑Michel de Langlais, maintenu noble en Bretagne le 9 mai 1663 et au Conseil d'État le 19 août 1672. Olivier-Louis-Joseph de Langlais, commandant du Navire La Loire torpillé le 31 mars 1918, échoua son navire et sauva l'équipage. Il fait l'objet d'une citation, est décoré de la croix de guerre et de la Légion d'Honneur (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 382).
↑Louis de Langle, seigneur de Kermorvan, en Baud, (Morbihan), conseiller au Parlement de Bretagne, maintenu noble d'ancienne extraction, le 26 octobre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 385).
↑Joseph-Abel-Archambault Langlois, Intendant général du Trésor Public, le 8 août 1809, payeur de la 4e division militaire en 1811 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 394).
↑Louis de Lantivy, seigneur de Kergo, en Baud (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 399).
↑Nicolas de La Ruée, seigneur de La Ruée, en Tréal, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, en 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 6, p. 46).
↑Même origine et mêmes armoiries que La Celle de Chateaubourg. Nicolas de la Selle(ou de La Celle), maintenu noble d'ancienne extraction le 17 février 1771. Jean Joseph de La Selle, membre des Assemblées de la noblesse de Saumurois en 1789 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 898).
↑Autorisée à reprendre le nom et les armes de la maison de La Tour d'Auvergne par le conseil d'État en 1829, sans lien généalogique ; Jougla, t. 6, p. 331, no 33222) : anciennes armes, d'azur à trois fasces d'or.
↑Famille originaire de Saint-Saint-Colomban (Loire-Atlantique). Jean de La Tribouille, seigneur du Clouzi, de Beczons, La Braudière et La Rousselière, paroissien de Moutiers-Les-Maufaits (Vendée), commandant d'une compagnie de gens de pied du marquis de Bressé, maintenu noble en Poitou le 9 août 1667. Jean de La Tribouille, capitaine au régiment de Poitou en 1667. Alexis de La Tribouille, né à La Gohardière en Bas-Poitou le 24 mai 1704, commandant d'un détachement de troupes françaises au Canada… (Henri Frotier de La Messelière t. 5 bis, p. 287).
↑Yves de Launay, seigneur de La Salle, en Kergrist-Moëlou, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 28 novembre 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 429).
↑Sébastien de Lauzanne, capitaine au régiment de Mazarin en 1653, écuyer de la Grande Ecurie du roi en 1663, maintenu noble en Bretagne, le 15 novembre 1669. (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 438).
↑Pierre le Bastard de Villeneuve, seigneur des Métairies en Guignen, avocat au Parlement de Bretagne, réintégré dans l'ordre de la noblesse en 1731 (Henri Frotier de La Messelière t. 1, p. 100).
↑Bonable Le Bel, seigneur de La Gavouyère en St-Aubin d'Aubigné (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne le 26 janvier 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 1, p. 133).
↑François Le Blonsart, seigneur du Bois de la Roche en Garlan, maintenu noble en Bretagne en 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 1, p. 223).
↑Maurice Le Borgne, seigneur de Kerguien en Perros-Guirec, maintenu noble en Bretagne le 4 avril 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 1, p. 278).
↑Amaury Le Cardinal de Kernier, seigneur de Kerglas, maintenu de noblesse d'ancienne extraction en Bretagne le 21 novembre 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 1, p. 493).
↑François Le Gac de Lansalut, seigneur de Kerhervé, maire de Morlaix, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 25 juin 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 416).
↑Jacques Le Gentil, seigneur de Rosmorduc en Logonna, maintenu noble d'extraction en Bretagne, par arrêt de la Chambre de la Réformation, le 30 août 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 471).
↑Pierre Le Gualès, maintenu noble en Bretagne en 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 639).
↑Charles Le Jumeau, seigneur de Kercaradec, en Plounevez-Lochrist, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 18 avril 1622. Alexandre Camille Le Jumeau de Kercaradec (1841-1894), capitaine de frégate, envoyé extraordinaire près le roi d'Annam en 1883, consul de France et chargé d'affaires au Siam, à Moscou, puis à Berlin. chevalier de la légion d'honneur pour fait de guerre à Mazaltan (Mexique)le 25 juillet 1864 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 227).
↑Joseph Le Levreur, directeur des Contributions indirectes, anobli le 18 novembre 1815 (t. 3, p. 504).
↑Vincent Le Marant, seigneur de Penanvern, en Plourin, maintenu noble en Bretagne le 21 février 1671 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 648).
↑la famille Le Mercier de Maisoncelle, peut-être d'origine nantaise, fut anoblie en 1734 en la personne de Louis, chevalier de Saint-Louis, commandant de la Grande-Terre, à la Guadeloupe (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 11).
↑Jean Le Mintier, seigneur de La Motte-Basse, en Le Gouray, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 17 novembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 51).
↑Jacques Le Nepvou, seigneur de Carfort, en Saint-Brieuc, (Côtes d'Armor), maintenu noble à l'Intendance le 30 mars 1702, membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1730. Autre Jacques, maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne, le 19 août 1782 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 165).
↑Joseph Le Provost, seigneur de La Garenne-au-Provost en Guer, (Ille et Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le 26 mars 1669. Joseph-Mathurin Le P., seigneur de La Voltais, en Monteneuf, (Morbihan), avocat au Parlement, le 1er août 1721 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 517).
↑Henri de Quenaudon, dit de L'Escale, substitué aux nom et armes de son aïeulle paternelle, Claude de L'Escale, le 30 mai 1608, gendarme de la compagnie d'ordonnance du duc de Lorraine, puis grand Maître des eaux et Forêts du duché de Bar, confirmé dans cette charge par le roi Loui XIV, en 1643 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 220).
↑Charles de Lesguern, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 15 avril 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 486).
↑Jacques de Lespinay, maintenu noble d'ancienne noblesse vers 1630. Jacques de Lespinay, maréchal de camp, le 1er février 1719 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 489).
↑Claude de Lesquen, seigneur du Casso en Pluduno, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 4 septembre 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 491).
↑Louis de L'Estoile, seigneur d'Hardencourt, en Saint-Pierre de Butray (Maine-et-Loire), maintenu noble en Conseil d'État le 25 avril 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 253).
↑Pierre de L'Estourbeillon, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 21 novembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 2, p. 254).
↑François Libault, seigneur de Beaulieu, secrétaire du roi en 1753, maire de Nantes le 14 mai 1766. Autre François Libault, seigneur de La Chevasnerie, capitaine de cavalerie, garde du corps du roi, compagnie de Luxembourg, secrétaire des commandements de Madame la duchesse de Berry, en 1832 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 506).
↑Isaac de Lignières, seigneur de Marteville-Lignières, (Aisne), capitaine d'infanterie, maintenu noble à l'Intendance de Soissons, le 5 septembre 1667. François de L., enseigne au régiment du Plessix-Praslin en 1665. Louis de L., capitaine au régiment de Poitou-Infanterie, blessé à Laufeld, (Hollande), le 2 juillet 1747, puis maire de Ham. Marie-Charles-Nicolas de L., lieutenant au régiment du roi, avant 1832. Henri-Marie, de L., lieutenant de grenadiers de la Garde Impériale, en 1813. Henri-Gustave, colonel du 6e Hussard, puis général de brigade en 1878, commandeur de la Légion d'Honneur (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 5176 ?).
↑Claude, baron Lombard, avocat au Parlement, conseiller général et député de l'Isère, de 1815 à 1824, créé baron et anobli le 7 mars 1830, pair de France, le 3 octobre 1837. Claude-Louis-Marie-Amalric, comte Lombard de Buffières, créé comte héréditaire, le 11 mars 1863 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 522).
↑Marie-Alexandre, comte de Lyrot de La Jarry, capitaine de frégate, chevalier de Saint-Louis, avant 1848 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 585).
↑Philippe Mahé, seigneur de Berdouaré, en Plounévez-Loc'hrist, (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction, le 20 mai 1669. Jean-Nicolas M., de B., chef de division, commandant de canonniers gardes côtes, en 1760 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 604).
↑Famille originaire de Normandie, établie dès 1474 en Poitou. Charles de Martel, maintenu noble en Poitou, dans l'élection de Châtellerault, les 16 mars 1665 et 1er septembre 1667. Antoine de M., affecté au deuxième escadron de la noblesse du Poitou aux bans de 1692 et 1695. Pierre de M., maintenu noble à l'Intendance de Poitiers, le 18 janvier 1716. Roland-Charles de M., chevau-léger de la Garde du roi, émigré à l'armée des princes, colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis. Joseph-Roch de M., chevalier de Malte en 1775 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 661).
↑Jean-Baptiste-Marie Martin de La Baudinière, Garde du corps du roi Louis XVI en 1791et 1792, colonel du corps royal des chasseurs de Bonchamp, en Vendée de 1793 à 1800, anobli le 28 mai 1819, chevalier de Saint-Louis (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 668).
↑Antoine-Joseph de Mauduit, seigneur du Plessix, en Caudan (Morbihan), affecté à la Ferme des Devoirs de la Province de Bretagne, anobli en 1701, secrétaire du roi en 1724, trésorier receveur et payeur des gages des officiers de la Chancellerie près le Parlement de Bretagne en 1727. Antoine-René-Hyacinthe de M., chef d'escadron au régiment Dauphin-dragons, émigré à Saint-Domingue, passé au service de l'Angleterre, blessé mortellement en juillet 1796. Paul-Thomas de M., engagé aux volontaires de l'Ouest, blessé mortellement à la charge de Loigny, en 1870 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 681).
↑Gabriel de Méhérenc, seigneur de Saint-Pierre (Manche), gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, maintenu noble à Paris, au Conseil d'État, le 25 avril 1669. Jean-Michel-Auguste de M., agrégé dans l'ordre de la noblesse, aux États de Bretagne, le 30 juin 1762. Auguste, Bonabes de M., capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis, membre de la Société américaine de Cincinatus, émigré à l'armée des princes en 1792, contre-amiral en 1815 (Henri Frotier de La Messelière t. 3, p. 704).
↑Gérard de Messey, seigneur de Sainte-Sabine (Saône-et Loire), commandant d'une compagnie de 100 arquebusiers par brevet du 27 octobre 1618, commandant de la compagnie du duc de Mayenne en 1619, capitaine d'une enseigne du roi en 1635. Antoine de M., capitaine de 100 hommes de pied au régiment d'Albret, passé au régiment d'Enghien le 16 avril 1646, maintenu noble par jugement du Bouchu, conseiller du roi, du 19 février 1669. Charles-Gabriel, créé marquis de Messey par lettres Patentes du 31 mars 1705. Louis-François de M., major au régiment Royal-Etranger-cavalerie, émigré à l'Armée de Condé, maréchal de camp en 1815, prévost de Paris sous la Restauration, chevalier de Saint-Louis (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 23).
↑Baron d'Empire le 13 mars 1813, baron héréditaire le 14 novembre 1820 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 67).
↑François-Gaston de Nettancourt, seigneur de Nettancourt, (Marne), lieutenant-colonel de cavalerie, maintenu noble en Champagne en 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 168).
↑Woelmont, Notices généalogiques, 3, 549. branche aînée honneurs de la Cour en 1776 et 1781, marquis de Goussainville 1645 (aîné aussi comte de l'Empire 1811, pair 1815 et 1832, éteint 1918), cadet marquis-pair 1817
↑Joseph-Marie, baron Nielly, contre-amiral, baron héréditaire le 17 février 1815 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 177).
↑Joseph Normant, seigneur de La Villehelleuc, en Henanbihen, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne le 19 février 1679 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 194).
↑François de Novion, maintenu noble en Champagne, le 16 août 1667, employé sur les côtes du Poitou au ban de 1687, maréchal de camp, secrétaire de l'Assemblée de la noblesse du bailliage de Vermandois pour l'élection des députés aux États-Généraux de 1789 (Henri Frotier de La Messelièret. 4, p. 218).
↑François Onffroy, seigneur de Veret, près Bayeux, (Calvados), maintenu noble en Normandie en 1666. Pierre-Roland O., colon à Saint-Domingue. Jacques-Roland O., maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne du 20 juillet 1782, commissaire de la noblesse des États de Bretagne, de 1784 à 1789, pour l'inspection des octrois des villes de la province, retourné à Saint-Domingue en 1790, colonel des milices royalistes et d'émigrés de cette île en 1793 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 225).
↑Robert d'Ozouville, maintenu noble en 1666 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 234).
↑Louis de Parcevaux, seigneur de Kerameal, en Kernoues, (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 12 avril 1669. Robert-Guillaume de P., officier de la Marine royale, mort à bord du Magnanime, le 22 janvier 1712. Claude-Marie de P., chef d'Escadre des Armées navales, le 16 septembre 1764. Ambroise-Toussaint-Marie, lieutenant de vaisseau du roi, émigré en 1792 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 264).
↑Claude de Parscau, seigneur du Menant, en Plouguerneau, (Finistère), maintenu noble en Bretagne le 12 avril 1669. Louis-Guillaume-François de P., chef d'escadre des armées navales le 20 août 1784. Hervé-Louis-Joseph, contre-amiral en 1827 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 270).
↑Pierre Paveret, seigneur de La Rochefordière, en Grand-Champ, (Loire-Atlantique), conseiller du roi, scelleur héréditaire de la Grande Chancellerie de France à Versailles et près la cour du Parlement de Paris, le 13 février 1788 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 281).
↑Olivier de Penguern, seigneur dudit lieu, en Lopérec, (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 26 août 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 310).
↑Antoine de Pioger, seigneur des Vergers, en Ercée-en-la-Mée, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le 1er mars 1669. Jean-Joseph de P., signataire de la protestation de la noblesse de Bretagne en 1789. Pierre-Marie-Joseph de P., volontaire à l'armée de Charette en 1796 et, en Bas-Poitou, en 1799 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 358).
↑Jean de Pluvié, seigneur de Ménéhouarn, en Plouay, (Morbihan), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 9 février 1669. Jean-Toussaint de P., capitaine au régiment de Clermont-Tonnerre-cavalerie en 1760 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 385).
↑Famille originaire de Porcaro en Morbihan. Jean de Porcaro, seigneur de Maupas, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, le 17 janvier 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 434).
↑Jean-Baptiste Porée du Breil, écuyer, conseiller-secrétaire du roi en 1730 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 439).
↑Mathurin Poulain, seigneur de l'Isle, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 28 janvier 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 469).
↑Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille n'a pas fait l'objet d'une maintenue en la noblesse au temps des grandes recherches mais en 1766 par la Cour des aides de Normandie et bénéficia en 1788 d'un arrêt du Conseil d'Etat (t.XV. Duh-Dyé. - 1917, présentation en ligne).
↑Tanguy de Quelen, seigneur de Kerohant, en Hanvec, (Finistère), conseiller du roi, président du Présidial de Quimper, le 17 novembre 1617. Hervé de Quelen, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 10 juin 1670. Urbain-Guillaume de Quelen, page de la grande écurie du roi en janvier 1745, cornette, puis capitaine au régiment Royal-étranger, garde corps du roi le 17 juin 1753, maréchal de camp le 5 décembre 1787, émigré à Jersey. Jacques-Louis-Joseph, page du roi Louis XVI le 1er avril 1787, sous-lieutenant de cavalerie, le 1er avril 1790, émigré à l'armée des princes, puis en Angleterre, échappé au massacre de Quiberon en 1795, incarcéré pendant les Cent Jours au château de Brest (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 521). Pas de lien établi avec la maison de Quelen souche des Quelen Stuer de Caussade.
↑Joseph-François Quemper, seigneur de Lanascol, en Plouzélambre, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1668. Jacques-Yves-Joseph Q. de L., page de la Grande Ecurie du roi, le 30 mars 1715 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 528).
↑Louis Quetier, seigneur de La Roulais (Côtes d'Armor), maintenu noble à l'Intendance de Bretagne, le 16 juin 1701 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 544).
↑Jacques Rioult, seigneur d'Ouilly, (calvados), receveur des Gabelles à Mers, à Ault et à Lisieux, receveur général des Finances à Poitiers en 1673, maintenu noble d'extraction le 6 juillet 1758. Louis-Philippe R., marquis de Neuville, pair de France (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 599).
↑Jacques-Pierre Rioust, né le 3 février 1725, avocat au Parlement, prit une part active à la défense du Gué du Guildo, où, pendant deux jours, les 7 et 8 septembre 1758, une centaine de volontaires arrêta 12 000 soldats anglais venant de Saint-Jacut, ce qui permit au duc d'Aiguillon de réunir les troupes qui écrasérent l'ennemi à Saint-Cast le 11 septembre 1758. Frédéric-Auguste Rioust des Villes-Audrains et de Largentaye, né à Quintin le 17 juin 1766 est anobli par lettres patentes du 22 juin 1816, en récompense de la belle conduite de son père en 1758 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 602).
↑Gilbert Robert, seigneur de la Lézardières, maintenu noble en Poitou, le 24 septembre 1667. Joseph-Alexis R., baron de Lézardière, émigré à l'armée des prince en 1792 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 609).
↑Sébastien de Robien, baron de Lanvaux, en grandchamp, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 26 octobre 1668. Paul de R., président à mortier au Parlement de bretagne avant 1706 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 613).
↑Daniel-Alexandre Robineau, seigneur de La Renollière, capitaine au régiment du poitou, le 13 février 1646, maintenu noble en Poitou, le 9 août 1667. Philippe R., seigneur de La Rochequairie, en Saint-Étienne-du-Bois, (Vendée), capitaine au régiment de Touraine-infanterie (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 623).
↑Robert de Rocquigny seigneur de Palcheul, (Pas-de-Calais), cornette de chevau-légers au régiment d'Hocqincourt, maintenu noble le 17 janvier 1637. Marie-Catherine de Montlezun, veuve d'antoine de Rocquigny, obtient avec ses enfants une maintenue de noblesse en Boulonnais le 9 juin 1708. Florent de R., page de la Petite ecurie du roi en 1682, mousquetaire gris de la garde de sa Majesté. Marie-Jean-Baptiste de R., garde du corps du roi en 1732. Jeanne-Françoise de Croissy, veuve d'Antoine-François-Hubert de Rocquigny, morte dans les prisons révolutionnaires d'Arras en 1794 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 651).
↑François Le Rodellec, seigneur du Porzic, en Saint-Pierre-Quilbignon (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 9 janvier 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 653).
↑Louis Rogon, seigneur de Carcadec, en Ploulec'h, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 19 janvier 1669. Louis R. de C., gouverneur de Lannion en 1676 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 660).
↑Jean Rolland, seigneur du Noday, en Trémeur, (côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 2 mai 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 670).
↑Julien Rolland, seigneur des Aulnays, en Guipry, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 10 novembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 666).
↑Vincent Rolland, seigneur du Roscoät, en Pléhédel, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 22 décembre 1668 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 673).
↑Godefroy de Romance, seigneur de Mesmon (Ardennes), originaire de Liège, reconnu noble en France en 1639, maréchal de camp, commandant de la cavalerie légère du duc d'Enghien, tué à Rocroy le 19 mai 1643. Hugues de Romance, capitaine au régiment de la reine, maintenu noble au Conseil d'État, le 22 novembre 1668 et en 1697 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 678).
↑Louis de Ronseray, né en 1636, échevin de Nantes en 1676. Joseph de Ronseray, écuyer, né le 9 décembre 1681, capitaine d'armes à Nantes en 1710, établi à Saint-Domingue (Antilles), en 1541. Pierre Denis de Ronseray, né à Saint-Domingue, réfugié à Kington (Jamaïque) lors de la révolte de 1800. Rapatrié en France en 1832 (Henri Frotier de La Messelière t. 4, p. 683).
↑Pierre de Rougé, seigneur des Rues, en Chenillé, (Maine-et-Loire), maintenu noble en Anjou en 1667. Pierre, marquis de Rougé, aide de camp du maréchal de Créqui avant 1707. Pierre-François de R., maréchal de camp en 1718. Bonabes-Jean-Baptiste de R., colonel du régiment d'Auvergne en 1777. Bonabes-Louis-Victurnien de R., maréchal de camp, pair de France en 1815 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 1).
↑Famille de Picardie. Louis-François de Rouvroy de Saint-Simon, seigneur de Sandricourt, près Méru (Val-d'Oise), lieutenant général le 7 mars 1734. Balthazar-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon-Sandricourt, brigadier des armées du roi, gouverneur et grand bailli de Senlis, grand maître des cérémonies et chef d'une brigade des gardes du corps du roi de Pologne, avant 1783 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 25).
↑Claude Ruinart, seigneur de Brimont, avocat au Parlement, échevin de Reims, contrôleur des guerres, pourvu, le 1er juin 1777, de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi. François-Jean-irénée R., vicomte de Brimont, Maire de Reims, conseiller général et député de la Marne, gentilhomme de la chambre du roi, anobli le 21 juin 1817, vicomte le 19 juillet 1825, confirmé vicomte héréditaire le 17 mars 1827 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 58).
↑Gilles de Saint-Gilles, seigneur de Perronay, en Romillé, (Ille-et-Vilaine), lieutenant de 100 hommes d'armes, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, en 1607. Jean-Baptiste de St-G., commandant de neuf compagnies des gentilshommes des évêchés de Dol et de Saint-Malo, avant 1709. Jean-Baptiste-Louis, commandant de bataillon au régiment Royal-Vaisseaux en 1743. Marie-Joseph-Auguste, marquis de Saint-Gilles, fondateur d'une plantation à l'Île-de-France (Île Maurice) en 1790 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 73).
↑Anciennement la famille en question se nommait Jean, seigneurs de Crèvecœur. Lorsqu'elle immigra au Canada elle adopta le patronyme de Saint-John de Crèvecoeur, in Jougla t. 6, p. 343, no 20068 et p. 130, no 30853.
↑Eustache de Saint-Meleuc, seigneur dudit lieu, (Côtes-d'Armor), maintenu noble par la Chambre de Réformation de Bretagne le 30 juin 1669. Henri-Alain-Jean-Joseph de Saint-Meleuc, conseiller au Parlement de Bretagne de 1783 à 1789, incarcéré à Saint-Malo, le 3 octobre 1793, condamné à mort par le tribunal révolutionnaire et guillotiné à Paris le 21 juin 1794 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 79).
↑René de Saint-Méloir, seigneur de La Ville-Robert, en Saint-Lormel, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 81).
↑Gabriel de Saint-Pern, seigneur de Ligouyer, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 13 décembre 1668. René-Célestin-Bertrand de Saint-Pern, capitaine de la noblesse de l'évêché de Saint-Malo, arrêté, ainsi que la marquise de Sain-Pern, à Saint-Malo, le 12 octobre 1793., transféré à Paris en juin 1794, enfermé à Sainte-Pélagie, puis à la prison-hospice de Montprin où il mourut le 4 octobre 1794. Marie-Philippe de l'Ollivier de Saint-Maur, demoiselle d'Aunac, son épouse, arrêtée en même temps que son mari, transférée à la conciergerie, condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire de Paris et guillotinée le 20 juin 1794 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 85).
↑Nicolas Salaün, seigneur de Kerramoal, en Carantec, (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 24 juillet 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 100).
↑Louis de Sécillon, seigneur de Kerfur, en Guérande, (Loire Atlantique), maintenu noble en Bretagne, le 7 février 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 127).
↑Jean, baron de Secondat, maintenu noble à l'intendance de Montauban, le 22 mai 1670. Godefroy, baron de Secondat et de Montesquieu avant 1774 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 132).
↑Joseph-Marie Sioc'han, seigneur de Kersabiec, en Plounévez-Loc'hrist (Finistère), maintenu dans sa noblesse en 1717. Jean-Louis-Joseph S. de K., officier des vaisseaux du roi, embarqué en 1745 sur la frégate l'Argonaute, dans l'escadre de M. de Salverte pour secourir Louisbourg assiégé par les Anglais, capitaine de corsaire en 1746, prisonnier à Kinsal en Irlande, libéré, arma de nouvelles courses en 1747 et 1748 et participa aux combats de la côte du Morbihan en 1759 sur le vaisseau le Magnifique, dans l'escadre du maréchal de Conflans. Jean-Augustin S. de K., capitaine des vaisseaux du roi, servit sur de nombreux vaisseaux et sur toutes les mers, commanda la corvette La Warwich, prise en Amérique en 1795, et la corvette La Lise aux Antilles en 1786. Membre de la société américaine de Cincinatus. Emigré à l'armée des princes, puis au régiment d'Hector en 1794, membre du Conseil militaire de l'armée catholique et royale de 1792 à 1706. Dunstan-Louis S. de K., compromis dans le soulèvement légitimiste de l'Ouest en 1832 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 152).
↑Maintenue de noblesse par Le Pelletier de La Houssaye le 6 juin 1699 à l'intendance de Montauban, Soulan en Couserans, in Jougla t. 6, p. 281, no 32014.
↑François de Suyrot, seigneur du Mazeau, (Vendée), brigadier-commandant de la brigade de Maillezais, maintenu noble à l'Intendance de Poitiers, le 4 juin 1715 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, t. 172).
↑Jougla t.6, p. 258, no 32346. Jacques Taillepied, maintenu noble en Île-de-France, en 1666. Robert-Jean-Baptiste T., seigneur de Bondy (Île-de-France), créé comte d'Autry, le 9 juillet 1757. Jean-Baptiste Marie-Adéodat T. de B., membre de l'Assemblée de la noblesse de Paris (extra muros) en 1789. Jules-Louis-Emile-Robert T., comte de Bondy, Ministre plénipotentiaire, commandeur de la Légion d'Honneur en 1855.
↑François de Talhouët, seigneur de Talhouët, en Pluherlin, (Morbihan), maréchal de camp, capitaine de 50 hommes d'armes des ordonnances du roi, gouverneur de Redon, partisan du duc de Mercœur, pendant la ligue, puis passé au service du roi en 1594, après l'abjuration d'Henri IV, qui le confirma dans le gouvernement. Louis-Redon de T., maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 12 février 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 179).
↑originaire du Dunois. Loup de Tarragon, seigneur du Rozay, en Beauce, confirmé dans sa noblesse dans l'élection de Châteaudun, les 15 février 1618 et 17 mai 1634. Claude de Harcodeaux, sa veuve, maintenue noble à Orléans, le 22 janvier 1667. Michel de Tarragon, maintenu noble à l'Intendance de Paris le 17 mai 1705. Alexandre de Tarragon, confirmé dans sa noblesse dans l'élection de châteaudun, le 22 septembre 1739, sous-brigadier à la 2e compagnie des mousquetaires de la garde du roi, blessé le 11 mai 1745, à la bataille de Fontenoy. Jean-Rémy de T., se distingua en Amérique, aux Antilles, sous le marquis de Bouillé, et à Savannah en 1779, sous le comte d'Estaing, blessé à de nombreuses reprises, après onze campagnes de guerre, dont cinq en Allemagne. Armand-Jean-Louis-Henri, auteur de tous les rameaux subsistants de cette nombreuse famille, chef de bataillon des volontaires royaux en 1815 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 196).
↑Charles de Terves seigneur de Glaude, en Bouillé-Loretz, (Deux-Sèvres), maintenu noble en Poitou, le 12 septembre 1642. Pierre-Joseph-Louis de Terves, lieutenant au régiment de Foix-infanterie, émigré à l'armée de Condé en 1792, grièvement blessé à Belhem le 19 juillet 1793 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 202).
↑Antoine, Jean-Marie, comte de Thévenard, chef d'escadre en 1784, brigadier des armées navales en 1786, ministre de la marine en 1791, comte de l'Empire le 9 janvier 1810, sénateur le 5 février 1810, pair de France le 2 juin 1814, membre de l'Académie des sciences, Grand-Officier de la Légiond'Honneur, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 216).
↑Pierre-Jacques-Philippe Tillette, seigneur de Mautort (Somme), lieutenant au régiment du roi-Infanterie. Jean-Baptiste Tillette de Mautort, capitaine d'artillerie, chevalier de Saint-Louis, maire d'Abbeville en 1790, conseiller général de la Somme de 1800 à 1830, président du collège électoral d'Abbeville, fut créé baron de l'Empire le 2 janvier 1814, puis baron héréditaire le 10 janvier 1821. Prosper-Abbeville T. de M. fut adopté le 6 août 1816 par Louis-François-Marie de Clermont-Tonnerre, comte de Thoury, frère de sa mère (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 238).
↑La branche de Tinguy de Nesmi présente deux retenues de noblesse en Poitou: La première date de 1667. La deuxième du 25 juin 1718 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 240).
↑René, marquis de Tinténiac, seigneur de Quimerc'h, en Bannalec (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 26 juillet 1669. François-Hyacinthe de T., mousquetaire de la garde du roi en 1722. Hyacinthe-Joseph-François de T., lieutenant général, grand'croix de Saint-Louis en 1819 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 243).
↑Alexandre de Lautrec, dit de Toulouse-Lautrec, maintenu noble en Languedoc le 24 octobre 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 255).
↑Paul de Tredern, seigneur dudit lieu, en Plougoulm, (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 4 juin 1669. Louis-Marie-Joseph, capitaine au régiment de Picardie, en 1766. Autre Louis-Marie-Joseph de T., lieutenant au régiment de Poitou, a servi à la Martinique, émigré à l'armée des princes, en 1792, blessé au combat de Bois-le-Duc (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 264).
↑François de Trémaudan, seigneur du Tertre, en Plénée, (Morbihan), chevau-léger de la garde du roi, maintenu noble en Bretagne, le 3 septembre 1670 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 267).
↑Jacques Treton, avocat au Parlement, secrétaire du roi, le 17 juillet 1701. Autre Jacques T., lieutenant des maréchaux de France, maintenu noble à l'Intendance, le 30 octobre 1715. Jacques-François-René T., seigneur de Vaujuas, major d'infanterie, chevalier de Saint-Louis. Marie-Louis-François T. de V., autorisé par ordonnance du 31 mars 1843 à prendre le titre de Marquis de Vaujuas-Langan, député, le 23 mai 1849 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 281).
↑Les branches de cette famille ont eu pour auteur commun, Jean de Trogoff, seigneur du Pellinec, archer en Brigandine de la paroisse de Pommerit-Jaudy (Côtes d'Armor). Louis T., seigneur de Coatallio (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 23 août 1669. Pierre-Marie-René de T. de C., admis au collège de la Marine de Vannes sur preuves de noblesse du 31 janvier 1787. Pour la branche de Boisguézennec, Pierre de Trogoff de B., maintenu noble d'ancienne extraction, le 29 août 1669. Yves deT de B., conseiller au Parlement Maupeou à Rennes de 1771 à 1774 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 293).
↑Pierre de Trolong, seigneur de Rumain, en Hengoat (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 18 mai 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 300).
↑Louis-François de Turgy, né à Paris, le 18 juillet 1763, chef de cabinet de la duchesse d'Angoulême, officier de la Légion d'Honneur, anobli le 2 décembre 1814. Jean-Baptiste, baron de Turgy, le 22 janvier 1825, garde du corps du roi, mort à Sillegny (Lorraine) (Henri Frotier de La Messelière t. 5 bis, p. 318).
↑René-Jean-Antoine de Vallois, secrétaire du roi en 1753 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 336).
↑Jean François Verchère, secrétaire du roi en 1714, épouse le 11 juin 1679 Geneviève Pelu. Jean Claude Verchère, né le 19 novembre 1700, conseiller et médecin ordinaire du Roi, surintendant des eaux de Bourbon-Lancy (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 356).
↑Gilles du Vergier, seigneur de Kerholay, en Guidel, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 15 avril 1669 (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 363).
↑citée XIIe s. (issue de la famille de Longeville), extraction chevaleresque 1126, comte de Grignoncourt 1665 et marquis de Villers (par Philippe IV d'Espagne), Bourgogne, Lorraine, Franche-Comté, Pays-Bas (Jougla t. 6, p. 475, no 34950).
↑Jean-Louis Vittu, seigneur de Gueslain, secrétaire du roi en la Chancellerie près le Parlement de Bretagne, prévost de la connétablie de France, reconnu noble le 11 avril 1743. Jean-Louis-Prosper, émigré en Autriche en 1791, décoré du Lys (Henri Frotier de La Messelière t. 5, p. 394).
↑Jacques de Witasse, seigneur de Vermandovillers, (Somme), capitaine au régiment du vidame d'Amiens. Claude de W., cornette au régiment de la reine. Jean-Jacques de W., gendarme de la garde du roi, maintenu noble le 4 décembre 1700. Claude-Joseph-Barnabé de W., chevau-léger de la Garde du roi, tué en duel le 25 octobre 1757. Marie-Gustave de W., marquis de Thézy, auteur de tous les descendants actuels (Henri Frotier de La Messelière t. 6, p. 923).
Références
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↑Il est alors précisé que le bénéficiaire peut "se qualifier Ecuyer et [titre]", contrairement aux Lettres Patentes d'octroi de titre sans anoblissement qui ne font pas état de la possibilité de se qualifier "Ecuyer" (Guy Guérin du Masgenêt, Législation et jurisprudence nobiliaires, p.91)[réf. non conforme]
↑Marc Gauer, « Histoire et généalogie de la famille La Fare et ses alliances », Les cahiers ardéchois', édité le 6 décembre 2011, mis à jour le 7 janvier 2018 (lire en ligne)
↑Révérend, no 1910, B.n.F., Pièces originales, Ms 1497.
↑ abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaabacadaeaf et agAldric de La Boussinière et Lascases, La Noblesse des derniers Conseillers-Secrétaires du Roi (1770-1790), Editions du Puy, 2022, nobiliaire p.204.
↑Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, tome II, p.304.
↑Acte récognitif : Lettres de provision du pour la charge de Trésorier de France au bureau des Finances de Limoges, en faveur de Léonard-Claude Lajoumard, écuyer, seigneur de La Boissière, 5e aïeul du candidat. Lettres de provision du pour la charge de Chevalier d'honneur au bureau des finances de Limoges en faveur d'Antoine Lajoumard, son fils, mort en charge le , quart-aïeul du candidat[réf. nécessaire].
↑Acte récognitif : Registre de Simon des Coutures des maintenues faites par d'Agusseau, intendant de Limoges : inscription de Gabriel de La Laurencie, 12e aïeul du candidat, écuyer, seigneur de Mourières, demeurant en la paroisse de Tonnay-Boutonne, élection de Saint-Jean-d'Angely, qui produisit ses titres le (A.D. de la Haute-Vienne 2 Mi 591)
↑Le Second ordre, Société du grand armorial de France, Éditions du Palais Royal, 1947, page 80.
↑Charondas, A quel titre, 1970, Volume 37, p.(?) (lire en ligne)
↑Jacques Jalouneix, L'héraldique du Limousin du XIIe au XXIe s., 2e partie, , p. 390.
↑André Lecler, Généalogie de la famille Lamy de La Chapelle, depuis le patriarche (1305) jusqu'à nos jours (1873), impr. de Chapoulaud frères (Limoges), 1873, 60 pages (présentation en ligne)
↑Acte récognitif : Lettres de provision de l'office de Conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France, audiencier en la chancellerie près le Conseil supérieur d'Alsace à Colmar en faveur de Jean-Baptiste Lamy, seigneur de Lucet et de La Chapelle, 6e aïeul du candidat, par L.P. du 17 novembre 1772. L'intéressé mort en charge le .
↑Vair, seigneurie, paroisse d'Anets, diocèse de Nantes, érigée en comté en 1653, en faveur de Charles de La Noue. (Comte de Waroquier, Tableau de la noblesse présenté au roi, 1787).
↑Jean-Auguste de Lapasse, gouverneur du château de Foix en 1612 et Édouard de Lapasse (1792-1867), diplomate et médecin alchimiste à Toulouse au XIXe siècle où il aurait été également membre des Rose-Croix.[réf. nécessaire]
↑Balthasar de Clapiers-Collongues, Chronologie des officiers des Cours souveraines de Provence, Édition de la Société d’Études Provençales, Aix-en-Provence 1909, p.---[réf. non conforme].
↑Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au 19e siècle, Vol.2, p. -.
↑Maintenue noble en 1668 sur le vu d’une production falsifiée établissant une noblesse de race remontant à 1493
↑ abcde et fFrançois-Paul Blanc, Le second ordre provençal et les réformations de noblesse sous le règne de Louis XIV. Dictionnaire généalogique des familles maintenues en la noblesse, édition Presses de l'université de Toulouse 1 Capitole, décembre 2018, pages 388 à 389.
↑Une branche de Choulot a relevé Chabaud La Tour par adoption[réf. nécessaire].
↑Gontran du Mas des Bourboux, L'ancienne noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, Pilote 24 édition, Périgueux, 2001, pages 187 et 189.
↑Acte récognitif : Lettres Patentes de mars 1789 en faveur de Pierre Alexandre Henry, quint-aïeul du candidat, le maintenant dan sa noblesse.
↑d'après B.n.F. Pièces originales 3006, Nouveau d'Hozier 332
↑Nom repris de la famille de Courson de La Villevalio, éteinte en 1847.
↑Aignan Le Bas, seigneur de Leschenau, secrétaire de la chambre du roi en 1639, maître d'hôtel du roi en 1653. (Louis Pierre d'Hozier. Armorial Général ou registre de la noblesse de France – 4e registre).
↑Cette famille a été maintenue dans sa noblesse par ordonnance de Barentin le 10 décembre 1667 sur filiation suivie depuis 1559 ; cette ordonnance de Barentin est rappelée dans trois maintenues distinctes rendues par Quentin de Richebourg, Intendant du Poitou, et publiées Tome XXIII des Archives Historiques du Poitou.
↑ a et bPierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 341
↑Philippe Lefèbvre, directeur des fermes du roi à Rouen, fermier général depuis 1710, reçu le 14 juillet 1718 conseiller-secrétaire du roi, mort en charge le 29 janvier 1733. Une branche de la famille reprend le nom de Salgues par décret du 14 janvier 1882. (Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, vol.18, page 218).
↑Louis Lemau, lieutenant du bailliage de Polisy (Aube), conseiller-secrétaire du roi près le Parlement d'Aix en Provence en 1750. Louis Marie Lemau de Talancé, émigré à l'armée de Condé en 1791. Une des branches cadettes relève le nom de Sirvinges. (Authier et Galbrun. État de la noblesse française Subsistante, vol. 18, p. 236).
↑283--Armorial ANF.2004-éditions du Gui. P.585-N°1436-AR.3251 : Certificat de noblesse délivré le 8 avril 1785 par Denis Louis d'Hozier pour l'admission dans les pages de la Petite Écurie
↑Après l'adoption au XXe siècle d'Antoine de L'Escale (1912-1999) par sa tante maternelle Jeanne Jouan de Kervenoaël (1873-1956).
↑Charondas, À quel titre ?, volume 37, Les Cahiers nobles, 1970, p.8.
↑Waroquier de Combles, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, Paris, 1789, p.--[réf. non conforme]
↑d'argent à 7 fusées de gueules rangées en fasce. AR du 7 octobre 1968 : 9 novembre 1765, certificat de noblesse délivré par Beaujon pour l'admission dans les chevau-légers de la Garde du Roi
↑d'argent à 7 fusées de gueules , 4 et 3. AR du 29 mai 1973 : Jugement de maintenue de noblesse rendu par Quentin de Richebourg, intendant du Poitou
↑Preuves de noblesse pour les pages de la grande écurie, le 20 avril 1700. Preuves de noblesse pour Saint-Cyr en 1708. Dr de Ribier. Preuves de la noblesse d'Auvergne[réf. non conforme].
↑Selon Authiers et Galbrun, État de la noblesse Française Subsistante, Vol. 18, p. 247 : Famille originaire de Mondovi en Piémont. Filiation suivie depuis Paolo Lingua, consul de Mondovi en 1463, père de Jérôme, évêque de Saint-Lizier (Ariège) en 1575. Innocent Lingua naturalisé en 1597. Anobli en 1604. Maintenue de noblesse le 14 juillet 1717.
↑Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 128.
↑Sentence rendue par l’Election d’Artois le 4 décembre 1677 et lettres patentes signées de Marly et enregistrées le 1er septembre 1695, portant confirmation de noblesse pour les sieurs de Guzelinghem, de Walle et d’Eglegatte, in Noblesse et chevalerie du comté de Flandre, d'Artois et de Picardie, Paul Roger, p372.
↑La branche de Nortbécourt, subsistante, descend des seigneurs de Walle, la branche aînée de Guzelinghem et celle d’Eglelatte, appauvries, sont encore réputées subsistantes en 1873 à Tournehem, Alquines et Saint-Omer pour la première, Tournai pour la seconde, in Bulletin de la Commission historique du département du Nord, Volume 12, Lille, Imp. Danel, 1873, p74 (lire en ligne).
↑J. Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1976, vol. 2, p. 262.
↑Maintenue de noblesse en Orléanais du 26 janvier 1702 par M. Jubert de Bouville (BN. MF no 32270).
↑Acte récognitif : Certificats de noblesse de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin du pour être reçu chevau-léger de la Garde ordinaire du roi en faveur d’Émeric Joseph de Longueau, mentionnant la maintenue de noblesse de 1696 en faveur de son aïeul Jean de Longueau, chevalier, seigneur de Launay, et en faveur du frère de ce dernier, Louis de Longueau, chevalier, seigneur de Saint-Michel, 6e aïeul du candidat (S.H. Défense 1Ye carton 151).
↑Michel de Lonlay, écuyer, seigneur de Boisjosselin, maintenu en 1667 par Bernard de Marle dans la généralité d'Alençon.
↑Changement de nom "de Louvel" en "de Lupel" par ordonnance du 13 septembre 1820 : Bulletin des lois de la République Française, Volume 11, page 543, reprise depuis du nom de Louvel.
↑Hector des Lyons, greffier des États d'Artois, fut anobli le 19 février 1634 (J.Le Roux, roy d'armes au titre de la Province et Comté de Flandre, Recueil de la noblesse de Flandres et Artois, Lille, 1715[réf. à confirmer].
↑ a et bLouis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, Nouveau Nobiliaire de France, tome 3 (M-Z), Versailles, 1998, p. -- [réf. non conforme].
↑Janine et Pierre Saliès, « Les Capitouls de Toulouse de 1590 à 1740 », in Cahiers d'histoire de Toulouse et du pays toulousain - revue Archistra, p. -- [réf. non conforme].
↑Nicolas-François de Metz, avocat en parlement, substitut du procureur général en la Chambre des Comptes, fut maintenu aux droit et possession de se qualifier écuyer par arrêt de la Chambre des Comptes de Lorraine du 24 décembre 1788, comme descendant au huitième degré de Philippe de Metz, père de Mathieu, reconnu être issu d'ancienne noblesse par lettres de Nicolas de Lorraine, comte de Vaudémont, régent du duché pendant la minorité de Charles III, du 11 décembre 1556 (Reg B. 269 n°21). Nicolas-François de Metz dit, dans sa requête, qu'au nombre des pièces qu'il produit ne se trouvent pas les lettres d'anoblissement. La noblesse de sa famille est trop ancienne pour que les titres originaires aient pu être conservés pendant plusieurs siècles dans une province qui a essuyé tant de révolutions... (Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, AD MM B269, d'après l'inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790).
↑Armorial de l'ANF, 2004, p.725, n° 1855, A.R. du 24 décembre 1788 : Arrêt de la Chambre des Comptes de Lorraine portant maintenue de noblesse
↑Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, vol. 18, p. 272)
↑Roger Devos, Bernard Grosperrin, Histoire de la Savoie: la Savoie de la réforme à la révolution française., Rennes, Ouest France université, , 566 p. (ISBN2-85882-536-X), p. 183
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 392.
↑AR : Signification faite le à Messire Jean de Montard, écuyer, ancien officier au régiment de Poitou, quart-aïeul du candidat, par le maire et les consuls du Mas-d'Agenais, de leur délibération du concluant à l'absence d'objection contre sa noblesse, à la suite de l'examen de l'arrêt de la Cour des Aydes et Finances de Bordeaux du 2 septembre précédent.
↑D'Hozier écrit que cette famille porte un titre de chevalier depuis 1600 mais il ne rapporte ni maintenue en la noblesse ni reconnaissance par le roi.
↑Jean Pierre Morel, seigneur de La Colombe, 1473. Antoine, lieutenant de 100 arquebusiers à cheval en 1578. Charles, représenté au ban et à l'arrière-ban le 12 novembre 1639, maintenu dans sa noblesse le 13 décembre 1669 par M. de Bezon. Louis Ange Morel de La Colombe, passé au service d'Amérique en 1777, en qualité d'aide de camp de M. de La Fayette, capitaine de dragons au régiment du roi en 1780, chevalier de l'ordre de Cincinatus en 1784 (Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786)
↑Jean Doublet (édition de Charles Bréard), Journal du corsaire Jean Doublet de Honfleur: lieutenant de frégate sous Louis XIV publié d'après le manuscript autographe, Paris : Charavay frères, 1883, p. 9.//Pierre L'Estourmy ( éd.), Recherche de la noblesse de 1666 pour la généralité de Rouen, dite Recherche de la Galissionnière, élection de Pont-l'Évêque, Saint-Pois, l'auteur, 2001, (ISBN2-901760-33-3), p. 280 (généalogie p. 280-285)
↑Woelmont de Brumagne, Notices généralogiques, 6e série, p. 832 (généalogie p. 832-838).
↑Woelmont de Brumagne, Notices généralogiques, 6e série, p. 841.
↑Branche. aînée comte de Vaubécourt 1642, éteinte 1705. Baron de Vaubécourt 1862, Champagne, Lorraine, Barrois
↑A.-C. de Neufville, Histoire généalogique de la maison de Neufville d'après d'anciennes chartes et des documents inédits, Amsterdam, 1869
(lire en ligne)
↑Cahiers du Centre de généalogie protestante, 3e trimestre 2010, p. 132 ([PDF] lire en ligne
↑La famille "de Nicolaï de Lacoste de Laval" est issue de la famille "de Nicolas", sieurs de La Coste et de Laval. Alain de Nicolas (né en 1715) écuyer et sieur de La Coste eut de son union avec Françoise Martine Planchard un fils, Louis-Anne (1763-1847) qui adopta la nouvelle graphie de son patronyme. M. d'Hozier, "Armorial Général de France", registre seconde, 2nd partie, Paris, 1742 et M. Champeval, "Dict. des familles nobles et notables de la Corrèze", t.2, ...., p. 335.
↑Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, 4e série, p. 606 (généalogie p. 604-610).
↑Duc de Cadore et de l'Empire en 1814, pour une branche éteinte en 1893, mais relevé par adoption de 1919.
↑Acte récognitif : Protestation de la noblesse de Bretagne de janvier 1789 dans laquelle est mentionné René Noüel de Kertanouarn, 6e aïeul du candidat (A.D. d’Ille-et-Vilaine C 2855F).
↑Acte récognitif : Annales manuscrites de la ville de Toulouse mentionnant Antoine de Nucé de Lissac, 7e aïeul du candidat, comme Capitoul de la ville pour le quartier de la Dalbade pour l'année 1773 (A.M. BB 284, chronique 442 f°96). Testament de Marie de Coly, épouse d'Antoine de Nucé de Lissac, le qualifiant d’Écuyer et d'ancien Capitoul de la ville de Toulouse (A.D. du Lot 4E 480/1).
↑John O'Byrne had Letters of Nobility granted to him by King Louis the XVI in 1770 and was always styled in France and in Ireland : le Chevalier O'Byrne de Macon La Houringue.Daniel Byrne-Rothwell, The Byrnes and O'Byrnes - A social history of the clan, v.2, p. 232, Argyll, 2010.
↑Jean Parisot de Bernécourt anobli par Lettres du duc Charles III de Lorraine le 19 janvier 1598. Bernécourt, seigneurie en Lorraine, érigée en baronnie par Lettres du 19 avril 1719, en faveur de Didier-Charles Parisot, colonel de cavalerie, au service du duc Léopold Ier de Lorraine. (Comte de Waroqier: Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi. 1786.).
↑Acte récognitif : Lettres patentes du Duc de Lorraine Léopold 1er, du , attribuant le titre de Baron à Charles Parisot, 8e aîeul du candidat (A.N. E3185).
↑Brandt de Galametz, Histoire Généalogique de la Maison du Passage, ...., p.--[réf. non conforme].
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 418
↑Vicomte Albert Révérend, in Armorial du premier Empire (t.IV), ...., p.--[réf. non conforme].
↑Actes récognitif : L.P. données à Turin, le , par Victor-Amé, roi de Sardaigne, duc de Savoie, portant vente et inféodation de la terre et fief de la Bathie avec la dignité et titre de Baronnie, en faveur de Claude Perrier et son fils aîné Pierre-Antoine, avec transmission en primogéniture dans la descendance mâle.
↑AN 149 Mi 3 et État des Donataires en Westphalie du .
↑Acte récognitif : Lettres Patentes du conférant le titre héréditaire de Baron de l'Empire à Pierre-François-Charles-Alexandre Petiet, 4e aïeul du candidat.
↑Vicomte Albert Révérend, Armorial du Premier Empire (t.IV), ...., p.--[réf. non conforme].
↑Léonce de Piépape, Nicolas Joseph Philpin de Piépape, jurisconsulte et conseiller d'état, 1731-1793, Paris, É. Champion, 1924, 136 p. (OCLC566025170).
↑Anobli par charge de conseiller au parlement de Dombes, exercée pendant 24 ans, suivant certificat de service du .
↑Maintenue de noblesse par arrêt du Conseil d'État le et à l'intendance de Lyon par d'Herbigny le .
↑Maintenues de noblesse par ordonnance de M. Barentin, intendant de la généralité de Poitiers le 1er septembre 1667, ordonnance de M. de Maupéou intendant de la généralité de Poitiers le 18 janvier 1699 et ordonnance de M. Bégon intendant de la généralité de La Rochelle le 21 avril 1700.
↑Acte récognitif : Lettres Patentes du , octroyant l'office de conseiller secrétaire du roi Maison et Couronne de France près le Parlement de Rouen à Adrien François Pinel, 5e aïeul du candidat.
↑Anne Louis Pinon, marquis de Saint-Georges, fait Mestre de Camp sur le champ de bataille de Fontenoy en 1745, Lieutenant-Général des Armées le 13 avril 1780, Grand'Croix de l'Ordre de Saint-Louis en 1773. (Comte de Waroquier: Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi. 1786).
↑Acte récognitif : arrêté du Garde des Sceaux du (531 T91) investissant le père du candidat du titre héréditaire de vicomte de Quincy.
↑Jean Étienne Piochard de La Bruslerie, né le 31 mai 1696, chevalier de Saint-Louis en juillet 1736, sous-brigadier de la Ire Compagnie de Mousquetaires le 1er juillet 1737, anobli par Louis XV par Lettres Patentes de mars 1743, Maréchal des Logis de la Compagnie le 1er juillet 1756. (Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786).
↑Acte récognitif : Maintenue de noblesse de Normandie en 1666 par Messire de Chamillart, en faveur de Georges Piton, sieur du Manoir, 8e aïeul du candidat (Musée des Beaux-Arts de Caen, collection Mancel, Ms 157, p. 506 et 507).
↑Acte récognitif : Lettres patentes de Louis XVIII en date du conférant le titre héréditaire de baron à Louis Duplessis de Pouzilhac, avec constitution de majorat.
↑Jean Pocquet de Livonnière, conseiller du roi au siège présidial d'Angers, mort en fonction en 1767. Un échevin d'Angers en 1684 (Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique du Maine-et-Loire (t.III), ...., p.--[réf. non conforme].. Maître ordinaire en la Chambre des comptes de Blois le
↑Acte récognitif : Preuves de noblesse délivrées le par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles Militaires de Henry-André du Pont de Compiègne, preuves remontant à la maintenue de noblesse par arrêt du Conseil du roi du en faveur du bisaïeul Nicolas du Pont de Compiègne, Écuyer, 8e aïeul du candidat.
↑Artefeuil, Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence : avec huit grandes cartes armoriales, vol. II, Avignon, F. Seguin, , 549 p. (lire en ligne), p. 5, 256
↑Acte récognitif : Maintenue de la généralité de Rouen, élection de Ponteaudemer, du , par Barin de La Galissonnière, pour Louis de Postis, 7e aïeul du candidat, alias Pottier, escuyer, sieur du Houlbec, y demeurant (B.M. Rouen, ms Martinville Y93, t.II f°2, 2v et 319), fils de Charles et Louise de Courseulles (B.N. man. fr. 32270) frère de Jacques, Pierre et Diane (A.D. de l'Eure 8 Mi 2313).
↑Acte récognitif : Arrêt du Conseil du roi du confirmant dans sa noblesse d'ancienne extraction Jean de Pracontal, 7e aïeul du candidat.
↑Recueil des personnes ayant fait leurs preuves pour l'ANF (1977).
↑Famille de cultivateurs, devenus marchands à Draguignan, selon l'Histoire véridique de la noblesse de Provence, par le baron du Roure (Bergerac, 1912).
↑1979- AR de l'ANF/5277 : 18 mars 1789, comparution pour l'Ordre de la noblesse, sénéchaussée d'Angers et qualifications nobles sur cinq degrés-(LP du 26 août 1670 enregistrées tardivement le 29 mai 1725 sur paiement d'une soulte)
↑Guy Chamillart, Généralités de Caen ; Woélmont, Notices généalogiques, ...., p.---[réf. non conforme].
↑Noble Louis Richard, conseiller de l'Hôtel du duc de Bourgogne, mort avant 1465. Noble Flauceault Richard, co-seigneur de Ruffey en Bourgogne en 1482. Noble Jacques Richard, seigneur de Ruffey, né en 1579, Gouverneur de la Chancellerie de Bourgogne en 1604, admis dans la Chambre de la noblesse des États de Bourgogne en 1618, élu aux états généraux de Bourgogne le 22 décembre 1623. Germain Richard, chevalier, sgr de Ruffey et de Vesvrotte, né le 3 septembre 1668, président de la Chambre des Comptes de Dijon le 10 mai 1730. Terres érigées en marquisat d'Ivry par Lettres de novembre 1776, enregistrées au Parlement de Dijon le 4 août 1777, en faveur de Jean-Baptiste Richard de Curtil. (Comte de Waroquier Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786) Voir l'article Charles Richard de Vesvrotte.
↑Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, t. V, p. 282
↑Acte récognitif : Lettres Patentes du du roi Louis XVIII accordant la noblesse héréditaire avec règlement d'armoiries à Joseph Étienne Royer Dupré, quart-aïeul du candidat.
↑Certificat de noblesse délivré par Louis Pierre d'Hozier pour l'admission dans la Maison royale de Saint-Louis à Saint-Cyr, le 16 mai 1750.
↑Filiation suivie depuis Jean Roys, vivant en 1553, père d'Arnaud, marié par contrat du avec Roberte de Concolas[réf. nécessaire].
↑AD Tarn et Garonne C557 et C558 (mort en charge le ).
↑Acte récognitif : Conseiller secrétaire du roi près la Cour des Aides de Montauban, par lettres de provision d'office du , en faveur de Bernard Rudelle, mort en charge le , 6e aïeul du candidat.
↑Sur institution de majorat pour la terre de Prouvais (Marne).
↑Lettres patentes du 9 septembre 1824 conférant le titre héréditaire de baron pair sur institution de majorat.
↑Sur réversion du titre d'Elzéar Zozime (1764-1847) premier et dernier duc de la maison de Sabran[réf. nécessaire].
↑Luc Antonini, Les Grandes familles provençales aujourd'hui (volume 3), ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Certificat de noblesse délivré par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles royales militaires, le 6 juin 1778.
↑Acte récognitif : Copie par Merigot, Directeur de la recherche des usurpateurs du titre de noblesse de la Généralité de Montauban, d'une maintenue de noblesse du par Laugeois, intendant de la Généralité, en faveur de noble Scipion Antoine de Saint-Julien, 7e aïeul du candidat (B.N. man. fr. 32302 f°687 et 688).
↑Pierre d'Hozier et Antoine Marie d'Hozier de Sérigny, Armorial général des registres de la noblesse de France, Paris, Edouard de Barthélémy, éditeur scientifique, (lire en ligne), p. 270.
↑Ordonnance de décharge du droit de franc-fief rendue le 21 novembre 1760 par l'intendant de Picardie, en raison de noblesse d'extraction (BN Carrés d'Hozier 361).
↑Arrêt du Conseil du roi du 21 juin 1783 portant maintenue de noblesse d'ancienne extraction (BN Nouveau d'Hozier 206).
↑Château de Ker-Saint-Éloy (Kersaint-Eloy) Revue Historique de l’Ouest, année 1896, présente dès la fin du XIIe siècle, État présent de la noblesse française, 1866, Antoine Bachelin-Deflorenne, Louis Paris, citée en 1351 comme gens d'armes/premier tome de l’Histoire de Bretagne, colonne 1471, par dom Morice, citée 1371. Extrait de La Revue Historique de l’Ouest, année 12 (1896 - Documents) - 1668-1671 - Réformation de la noblesse - 118 voir
↑Père Anselme, Histoire de la Maison royale de France et des grands officiers de la Couronne (t.IX), ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Acte récognitif : Arrêt sur requête rendu le par la Chambre des Comptes de Franche-Comté donnant acte à Claude-François de Salivet, 7e aïeul du candidat, et à son frère Jean-François, pour y avoir recours en cas de besoin, de la présentation qu'ils font des lettres de noblesse délivrées à leur parent, François de Salivet, par l'Empereur Charles Quint, en janvier 1531 (A.D. du Doubs, liasse 1 B788).
↑Henry de Lur-Saluces, Notice généalogique sur la maison de Lur, suivie par un précis historique sur les derniers marquis de Saluces et la cession du marquisat de Saluces à la France en 1560, Durand, Bordeaux, 1855 (lire en ligne)
↑Nourriguiers, c’est-à-dire propriétaires de bétail et tirent leur noblesse de la maintenue des traitants en 1668 (baron du Roure, Histoire Véridique de la noblesse de Provence, Bergerac, 1912, p.-- [réf. non conforme].
↑Vicomte Albert Révérend, Armorial du Premier Empire (t.II), ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Révérend, Titres, anoblissements et pairie de la Restauration (tome II), ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Max de Savenelle de Grandmaison, capitaine au 125e RI, (Promotion Saint-Cyr 1888 du Grand Triomphe), mort pour la France à Metz le 23 août 1914[réf. nécessaire].
↑Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 173.
↑Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration (t.VI), ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Jules Villain, La France Moderne : grand dictionnaire généalogique, historique et biographique, t. III : Haute-Garonne et Ariège, Montpellier, Impr. de Firmin, Montane et Sicardi, (lire en ligne), « De Scorbiac (alias Scorbiac, d'Escorbiac, Descorbiac) », p. 817 - 827.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 487.
↑Jacques Jalouneix, L'héraldique du Limousin du XIIe au XXIe s., 2e partie, , p. 659.
↑Archives Départementales des Bouches du Rhône C2212 f° 1050r.
↑Barons féodaux d'Écosse sortie des Comte de Fife en 1150 par un cadet titulaire de l'office royal de "Dispensator Regis", naturalisée en France en 1474 avec son titre de baron[réf. nécessaire].
↑Admission de Jacques Clair Stanislas de Surrel de Saint-Julien comme cadet-gentilhomme au régiment La Couronne Infanterie en 1778, sur présentation d'un certificat de noblesse du 13 mai 1776 signé de l'Intendant du Languedoc de Saint-Priest et du comte de Périgord, commandant militaire de la province de Languedoc (Archives de l'Armée de Terre, à Vincennes) et Registre de contrôle du régiment La Couronne (Archives de l'Armée de Terre Yb 410, p. 94).
↑Charondas : « Faux nobles » dans l'ouvrage À quel titre ...(Volume 37), coll. Les Cahiers nobles, 1970, 112 pages, page 11 (lire en ligne).
↑Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, Vol 2, page 187.
↑Cette condamnation existe cependant bien aux archives : AD31 (C503-513)
↑Acte récognitif : Certificat de noblesse délivré par Chérin pour l'obtention d'une sous-lieutenance, en date du , en faveur de Simon-Louis-François Taffin du Hocquet, 4e aïeul du candidat.
↑Pol Louis Potier de Courcy, Nobiliaire de Bretagne, 1846, p. 373 (présentation en ligne).
↑Registrées au Parlement de Paris le (A.N. X1a 8677, f°140).
↑Charles-Anselme-Marie Tardieu de Maleissye, né le 18 mars 1875, est autorisé à ajouter à son nom patronymique celui de Melun et à s’appeler légalement à l’avenir Tardieu de Maleissye-Melun au lieu de Tardieu de Maleissye in Bulletin des lois, 1902, p. 396 (lire en ligne).
↑Tardieu de Maleissye-Melun, décret du 29 mars 1902 in Noms à caractère nobiliaire obtenus par décrets de 1803 à 1956, SGADF 1957, p. 90 (lire en ligne).
↑Certificat de noblesse délivré le 19 mars 1784 par Chérin (BN Chérin 214). Vicomte Albert révérend, Titres et confirmations de titres, titre héréditaire de baron par Lettres Patentes de l'Empereur Napoléon III, le 22 décembre 1866.
↑Les trois branches nobles subsistantes sont issues de Pierre Teillard (1763-1836), anobli par L.P. du .
↑Chardin par mariage en 1841 avec Victoire Barron de Chardin[réf. nécessaire].
↑Les autres branches non anoblies, qui subsistaient encore au début du XXIe siècle, sont les Teilhard de Laterrisse installés en Argentine au XIXe siècle, et les Teillard de Nozerolles[réf. nécessaire].
↑Charles Tenant de La Tour, Notice sur les Tenant de La Tour, 1550-1875, impr. de H. Lefebvre (Compiègne), 1886, p. - (lire en ligne)
↑Comte Henri de Jouvencel, L'assemblée de la noblesse de la sénéchaussée de Lyon, ...., p.--[réf. non conforme].
↑Duc de Caraman, Notes généalogiques pour servir à l'histoire des fermiers généraux (tome III), ...., p. --[réf. non conforme]..
↑Acte récognitif : Maintenue de la noblesse de Champagne en 1669 par M. de Caumartin, en faveur de Gabriel de Thelin, seigneur de Gumont et Villiers-sur-Marne, 7e aïeul du candidat (B.N. man. fr. 32090 et 32091).
↑confirmé en 1733, Pages de la Grande Ecurie du roi en 1721.[réf. nécessaire]
↑registrées au Parlement de Dijon le 5 août 1659, et à la chambre de comptes le 14 août suivant
↑Acte récognitif : Enregistrement le à la Chambre des Comptes de Bretagne des lettres de provision, données à Versailles le , de l'office de Conseiller Secrétaire du roi, Maison et Couronne de France en la chancellerie près la Cour du Parlement de Bretagne, à Pierre Thoinnet, quint-aïeul du candidat (A.D. de la Loire-Atlantique, Chambre des Comptes, B510).
↑Fond Archives départementales de l'Ariège 33 J 3.
↑Acte récognitif : Maintenue de noblesse de la généralité de Moulins, élection de Nevers de 1667, en faveur de Noël de Thoury, seigneur de Malnay, 8e aïeul du candidat (B.N. man. fr. 32275).
↑Acte récognitif : lettres d'honneur de Conseiller secrétaire du roi en la Chancellerie près le Conseil supérieur d'Alsace données par le roi à Versailles le à Jean-François-Antoine Tissot, 6e aïeul du candidat.
↑Une relève Exelmans par décret du 7 novembre 1977.
↑Raoul Daudeteau, Recherches historiques et généalogiques sur la maison de Tournebu, Caen, 1911, p.-- [réf. non conforme].
↑Dominique de La Barre de Raillicourt, Les titres authentiques de la noblesse en France, Paris, Perrin,
↑Maintenue de noblesse en normandie en 1641 et à Caen en 1666. Certificat pour une sous-lieutenance du 6 mars 1789 (B.N Clairembault 936).
↑Beauchet-Filleau, Dictionnaire des familles du Poitou (t.IV), p. 53-54.
↑Blason : d'argent à un sanglier de sable en furie ayant la lumière et la défense d'argent- (Armorial de Bretagne de Guy Le Borgne. 1681)[réf. à confirmer].
↑« André de Tressemanes prouva l’anoblissement de sa famille au XVe siècle, par charge de secrétaire du Roi, en produisant des titres falsifiés entérinés sans difficultés par la commission », Vallette, page 606).
↑24 avril 1698 : Enregistrement par la Chambre des comptes de Dole des lettres de noblesse d'octobre 1630- AD Doubs. B 784.
↑Isabelle Marie Anne de Truchis de Varennes, plus connue comme chanteuse sous le pseudonyme de Zazie, appartient à cette famille.
↑Louis de Turenne, marquis d'Aynac, page de la Grande Ecurie sur preuves du 21 mars 1548. Honneurs de la cour en 1772 (Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, Vol. 18, page 329).
↑Titre de comte de l'Empire concédé au duc Charles Joseph d'Ursel, gouverneur-maire de la ville de Bruxelles, par LP scellées le 20 Décembre 1810. Cf Bulletin de l'ANF - Juillet 2017.
↑Adrien Lascombe, Répertoire général des hommages de l'évêché du Puy, 1154-1741, ...., p. 385.
↑Acte récognitif : arrêt du Conseil du Roi du prouvant l'ascendance noble d'Edme du Val, sieur d'Espizy, jusqu'à Yvon du Val, secrétaire du roi par lettres de provision du 6 juillet 1437 (charge qui n'était pas anoblissante à cette époque). Ledit Edme, cousin issu-de-germains de Jean du Val, écuyer, conseiller au parlement de Bordeaux, 9e aïeul de la candidate. Bulletin ANF n° 306, juillet 2016, p. 30 (assemblée générale du 13 juin 2016).
↑Famille maintenue dans sa noblesse en Périgord le 20 avril 1667 (Authier et Galbrun, État de la Nobesse Française Subsistante. Vol. 18, ...., p. 345).
↑Seigneurs de La Citière, de La Razillière, de Belezay, de La Varenne, de la Voute, de la Chaume, de Massilly, de Cordouan, des Hayes, de Champfremont, de Ravigny et de la Posté, Page de la Grande Ecurie en 1709, marquis 1796 (branche aînée éteinte), comte (branche cadette)[réf. nécessaire].
↑Acte récognitif : Preuves dressées par Charles d'Hozier le pour Alexandre de Vaucelles de Ravigny, 7e aïeul du candidat, en vur d'être reçu Page du roi dans sa Grande Écurie (B.N. man. fr. 32102 f°147 et 148).
↑Lettres patentes du octroyant le titre de Chevalier de l’Empire à Claude-Joseph-François Veyron la Croix, avec règlement d’armoiries, in Jean Tulard, Napoléon et la noblesse d’Empire, , Taillandier, 2003, p.1941.
↑Acte récognitif : Lettres Patentes du du duché de Savoie octroyant le titre de Comte à Marc-Antoine Vialet de Montbel, trisaïeul du candidat, et à sa descendance par ordre de primogéniture.
↑Amans-Charles de Vigouroux, maintenu dans sa noblesse le 15 mai 1700 par M. Legendre, Intendant de Montauban (Comte de Waroquier : Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786).
↑Agrégation à la noblesse à partir du XVIe siècle, maintenue en 1698 sur de fausses preuves.
↑Armoiries : de gueules à trois étoiles d'argent posées en bande côtoyées de deux cotices de même. Devise : Accueillance de Villers. François-Félix Chevalier, Mémoires Historiques sur la ville et seigneurie de Poligny, 2, ...., p. 529.
↑Acte récognitif : Ordonnance du , de Stanislas, duc de Lorraine, roi de Pologne, en suite des preuves admettant Jean Charles Adam, chevalier, marquis de Villers quart-aïeul du candidat, dans la compagnie des cadets gentilshommes de Lorraine.
↑François Bluche pour la première maison de Vogüe, éteinte en ligne masculine en 1326, extraction chevaleresque 1275 ou 1284 pour la seconde maison de Vogüé, olim d'Alès alias d'Alex, originaire du Dauphiné, La Vie quotidienne de la noblesse française au XVIIIe siècle, Hachette, 1973, p. 197 (lire en ligne).
↑déclaré exempt de toutes tailles, subsides, impositions et droit de maimmorte en 1739 et 1745. Authier et Galbrun État de la noblesse française subsistante, vol. 33, ...., p. 224.
↑Il y a rupture de filiation tout à la fin du XIVe siècle, et celle-ci n'est évidente qu'à partir du XVe siècle in Philippe du Puy, L’ancienne noblesse française, ...., p.-- [réf. non conforme].
↑Par arrêt du Conseil d’État de Léopold I Duc de Lorraine, suivant certificat du College of Arms de Londres du .
↑Anobli par Lettres Patentes du 3 novembre 1623. (J.Le Roux, Roy d'Armes au titre de la province et Comté de Flandre, Recueil de la noblesse de Flandres, Artois, Lille, 1715, p.-- [réf. non conforme].
Voir aussi
Bibliographie
Nobiliaires nationaux
Michel Authier, Alain Galbrun et Jacques Dell'Acqua, État de la noblesse française subsistante, 1973-2018, 43 volumes, (ISBN979-10-90452-08-4)
Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (BNF34209118). En vingt volumes répartis ainsi :
Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et de celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830 (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (BNF34209165). L'ouvrage est composé de sept volumes répartis ainsi :
Patrice du Puy de Clinchamps, Dictionnaire et armorial de la noblesse, 5 volumes, Patrice du-Puy-Éditeur, 2005-2009
Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975-1977 (BNF34294867). L'ouvrage est composé de deux volumes.
Séréville et Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, vol. 1, (BNF34584509).
Séréville et Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, vol. 2, (BNF34605975).
Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 1959-2007 (BNF31521922). L'ouvrage a eu six rééditions dont plusieurs sont utilisées par les références de l'article :
Henry de Woelmont de Brumagne, La noblesse française subsistante, Paris, Champion, 1928
Nobiliaires régionaux
Bretagne
Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes 1650-1912 : Recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, Saint-Brieuc, Imprimerie Prudhomme, 1912-1926 (BNF30469358). L'ouvrage est composé de cinq tomes.
Tome Premier : A - Corg, 1912-1913
Tome deuxième : Corn à G, 1913-1914
Tome troisième : H à Meh, 1914-1920
Tome quatrième : Mek-Roua, 1922 - 1923
Tome cinquième : Roug - W, 1924-1925
Jean de Saint-Houardon, Noblesse de Bretagne, histoire et catalogue de la noblesse bretonne subsistante, Versailles, Mémodoc, (ISBN978-2-914611-52-7).
Dauphiné
Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)
Rouergue
Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, Rodez, 1853-1860, 4 volumes