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Ali Karimi | ||
Ali Karimi en 2015 | ||
Situation actuelle | ||
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Équipe | Sepidrood Rasht F.C. (en) (entraîneur) | |
Biographie | ||
Nom | Mohammad Ali Karimi Pashaki | |
Nationalité | Iranien | |
Naissance | Karaj (Iran) |
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Taille | 1,85 m (6′ 1″) | |
Période pro. | 1996 -2014 | |
Poste | Attaquant | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1990-1991 | Naft Téhéran | |
1991-1994 | Saipa Karaj | |
1994-1996 | Fath Téhéran | |
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1996-1998 | Fath Téhéran | |
1998-2001 | Persépolis Téhéran | 68 (9) |
2001-2005 | Al-Ahli Dubaï | 85 (49) |
2005-2007 | Bayern Munich | 42 (4) |
2007-2008 | Qatar SC | 27 (5) |
2008-2009 | Persépolis Téhéran | 27 (7) |
2009-2011 | Steel Azin | 40 (14) |
2011 | Schalke 04 | 2 (0) |
2011-2013 | Persépolis Téhéran | 40 (13) |
2013-2014 | Tractor Sazi | 28 (5) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1998-2013 | Iran | 127 (38) |
Parcours entraîneur | ||
Années | Équipe | Stats |
2017 | Naft Téhéran FC | |
2017- | Sepidrood Rasht F.C. (en) | |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. |
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Mohammad Ali Karimi Pashaki (persan : محمدعلی کریمی پاشاکی), né le à Karaj, est un footballeur international iranien , jouant au poste de milieu de terrain offensif, reconverti entraîneur.
Surnommé le magicien, ses capacités de dribbles ont fait de lui un joueur à la renommée internationale.
Le , un an après son exclusion à vie de l'équipe nationale, Ali Karimi est limogé par son club de Steel Azin sous prétexte de ne pas avoir observé le jeûne du ramadan, ce que le joueur dément[1],[2],[3]. À 31 ans, parfois surnommé "le Maradona asiatique", Karimi est alors le second joueur le plus titré et le troisième meilleur buteur de l'équipe iranienne[1]. Le , suspendu pour les deux derniers matchs de son équipe, le joueur est condamné à une amende de 400 millions de rials (30 000 euros)[4].
En janvier 2011, Karimi prend part à un match de gala face au Milan AC avec l'Al-Ahli, club où il évolue de 2001 à 2005[5]. Cela ne plaît pas aux dirigeants de Steel Azin[5]. Dès le lendemain, dans une interview au quotidien Arman, le manager du club Saden Dorudgar annonce le licenciement du joueur[5].
Le , le dernier jour du mercato, Karimi s'engage avec le FC Schalke 04 de Felix Magath, déjà croisé au Bayern Munich entre 2005 et 2007[6], et signe un contrat de cinq mois.
En 2008, Ali Karimi critique la fédération iranienne, est exclu une première fois de l'équipe national mais est récupéré « politiquement » par le président Ahmadinejad[7].
Le 17 juin 2009, lors d'un match qualificatif pour le Mondial 2010 à Séoul contre la Corée du Sud retransmis à la télévision iranienne, Ali Karimi et des coéquipiers arborent des bracelets verts en soutien à l'opposition menée par Mir Hossein Moussavi, à la suite des votes contestés de l'élection présidentielle iranienne de 2009[1],[4],[2],[8]. À son retour à Téhéran, Karimi est exclu à vie de la sélection, comme six autres joueurs[8], par les autorités iraniennes[9],[4]. Sauvé par la FIFA[Comment ?], Karimi revient une nouvelle fois, mais se heurte de nouveau au pouvoir[Comment ?][7].
En 2013, Ali Karimi prend sa retraite internationale[10]. Malgré les tentatives du sélectionneur de l'Iran Carlos Queiroz, le milieu de terrain ne revient pas sur sa décision pour la Coupe du monde 2014[10].
En août 2010, parfois surnommé "le Maradona asiatique", Karimi est alors le second joueur le plus titré et le troisième meilleur buteur de l'équipe iranienne[1].