Search for LIMS content across all our Wiki Knowledge Bases.
Type a search term to find related articles by LIMS subject matter experts gathered from the most trusted and dynamic collaboration tools in the laboratory informatics industry.
Né dans un milieu ouvrier très modeste, Jacques Siclier obtient une bourse pour continuer jusqu'au lycée[2].
Enfant, il va très souvent au cinéma, le samedi soir avec ses parents, et le jeudi après-midi avec sa grand-mère paternelle[3], il va notamment voir Le Juif Süss en 1941[4].
Il est critique de cinéma pour Le Monde et Télérama[5]. Il a collaboré aux Cahiers du cinéma pendant deux ans, à la fin des années 1950. Il a également fait partie de l'équipe des critiques de cinéma de l'émission radiophonique Le Masque et la Plume.
↑Cinématographe, n°67, mai 1981, p.66, Jacques Siclier : "Je suis né dans un milieu pauvre. Mais comme je travaillais bien à l'école primaire, j'ai eu une bourse pour aller au lycée en 1938 : ce n'était pas drôle d'être un enfant prolétaire au milieu des fils de bourgeois. J'étais mal dans ma peau."
↑Cinématographe, n°67, mai 1981, p.66, Jacques Siclier : "J'y allais avec mes parents le samedi soir. A trois ou quatre ans, j'ai vu mon premier film : Le Bal avec Danielle Darrieux (...) J'y allais aussi avec ma grand-mère paternelle, le jeudi."
↑Cinématographe, n°67, mai 1981, p.67 : "C'était un grand succès de curiosité, mais tous les spectateurs, loin s'en faut, n'étaient pas antisémites (...) Je l'ai vu début 41 et je peux vous dire que je n'y ai pas marché."
Pierre Le Quéau, 20 ans de sociologie de l'art : bilan et perspectives : Marseille 1985-Grenoble 2005, actes du colloque international de Grenoble, L'Harmattan, 2007, p. 108-111 (ISBN9782296044111).