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Google Play | |
Adresse | play.google.com |
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Description | Magasin d'applications |
Slogan | Musique, film, livres, apps et plus |
Commercial | Oui |
Publicité | Oui |
Type de site | Magasin d'applications Distribution numérique |
Langue | Multilingue |
Inscription | Gratuite |
Propriétaire | |
Créé par | |
Lancement | |
État actuel | En activité |
Google Play est une suite d'applications créée par Google le 22 octobre 2008 par fusion des services Android Market, Google Movies, Google ebookstor et Google Music. Elle regroupe Play Store, le magasin d'applications officiel pour les appareils fonctionnant sous Android et Chrome OS, Play Films et séries, une boutique de location de films et de séries télévisées, Play Livres, une boutique d'achat en ligne de livres et de magazines, et Play Jeux, un service de sauvegarde, de récompense et de défis autour des jeux mobiles disponibles sur le Play Store.
En octobre 2022, le Google Play Store est fort de 3 553 050 applications, ce qui en fait le plus gros magasin d'applications au monde devant l'App Store et ses 1 642 759 applications[1].
L'Android Market a été annoncé le et a été disponible pour les utilisateurs le . La possibilité pour les développeurs de rendre des applications payantes a été ajoutée au Royaume-Uni et aux États-Unis le [2]. Le , le support a été étendu à 30 autres pays[3].
Le , le cap des 10 000 applications disponibles est franchi, avec 35 % d'applications gratuites ; 20 % sont des jeux et 16 % ont été déjà téléchargés plus de 10 000 fois[4].
Le , la 20 000e application est disponible ; 62,3 % des applications sont alors gratuites (contre 33 % sur l'App Store ce même jour)[5].
Le , 30 000 applications peuvent être téléchargées[6].
Le , ce sont plus de 68 000 applications disponibles sur la plateforme d'Android[7].
Le , le cap du 1er milliard de téléchargements a été atteint[8].
Le , plus de 80 000 applications étaient recensées, soit environ 10 000 nouvelles applications (+ 15 %) distribuées en 3 mois[9].
Le , Google indique qu'il y a désormais plus de 100 000 applications disponibles[10].
En , Google annonce la mise à jour progressive de l'application Android Market sur les smartphones équipés de Android 1.6 et plus[11]. Les changements de cette version 2.x se situent au niveau de l’interface avec un carrousel vert, et l'apparition contient de nouvelles sections de recherche. Le poids des applications est désormais affiché, et la limite maximum passe de 25 MB à 50 MB. Le développeur a la possibilité d'indiquer les résolutions disponibles pour son application. Le délai de remboursement des applications passe de 24 ou 48 heures à 15 minutes[12]. Lookout Inc. a relevé, en 2010, que 80 applications capturent les données personnelles de l’utilisateur à son insu[13].
Le , Google lance une nouvelle version web de l'Android Market offrant un accès via un ordinateur personnel. Liées à un compte Google (l'un de ceux enregistrés sur le smartphone), les applications seront directement téléchargées et installées à distance sur le périphérique sous Android[14]. Jusqu'alors il n'existait que des sites non officiels, comme Androlib[15] ou CodeS-SourceS[16] qui diffusaient le flux de la plateforme de téléchargement, tandis que le site officiel ne diffusait qu'une sélection des meilleures applications.
Le , Google annonce que la barre des 3 milliards de téléchargements a été dépassée[17].
Le , le nouvel Android Market, version 3.x, est sorti pour les smartphones et tablettes disposant d'Android 2.2 ou plus[18]. Cette nouvelle version propose une interface redessinée, une harmonisation des classements avec la version web de la boutique, une nouvelle méthode de navigation permettant de glisser entre les pages et la possibilité d'accéder directement aux autres services (Musique, livres, films) directement depuis l'Android Market[19]. Cette nouvelle version comble un des principaux défauts de l'Android Market, qui était le manque d'ergonomie de l'application[20].
En , la tablette Motorola Xoom reçoit une mise à jour comprenant une version d'Android Market adaptée aux tablettes fonctionnant sous Android Honeycomb[21]. Cette nouvelle version comprend des pages d'applications réorganisées pour s'adapter aux grands écrans des tablettes, tandis que les classements et l'écran d'accueil restent inchangés. Cette version est désormais appliquée sur toutes les tablettes sous Android Ice Cream Sandwich et Jelly Bean.
Le , Google annonce que Google Play va remplacer l'Android Market, Google Books, Google Movies et Google Music de façon à créer une certaine cohésion entre les différents services de Google. L’installation de Google Play se fait petit à petit sur les appareils équipés d'Android 2.2 au minimum (l'application restant en version 3.x). Dès qu'un utilisateur lance l'Android Market, la mise à jour s'effectue automatiquement sans demander l'autorisation à l'utilisateur, qui doit ensuite accepter les conditions d'utilisation[22].
Le , Google annonce une refonte complète de l'application Google Play qui passe en version 4.x : nouvelle interface plus colorée et simplifiée, basée sur les applications Google Now, Keep et Google +, l'application est toujours disponible à partir d'Android 2.2. En même temps a lieu un important nettoyage ; en effet, plus de 60 000 applications ont été supprimées au cours du mois de février, en grande majorité des applications indésirables ou proposant des sonneries gratuites[23].
Le apparaît la possibilité de paiement par PayPal[24].
Google annonce, en 2015, que plus de 400 millions de terminaux sont chaque jour scannés pour rechercher des applications contenant des éléments nuisibles. 0,15 % d'appareils contenant des applications dangereuses[25] ont été détectés.
Le , la fonction de présentation des jeux devient accessible pour certains jeux, dans la section Google Play Games. Tout utilisateur peut lancer l'application et jouer pendant 10 minutes dans le navigateur web. Il n'est pas nécessaire de télécharger et d'installer une version d'essai[26].
En est intégré un antivirus, Google Play Protect[27].
Le , Google Play interdit l'installation d'applications de minage de cryptomonnaies. L'utilisation de portefeuilles de cryptomonnaies reste permise[28].
Le , Google Play ajoute une nouvelle section pour les enfants, « Teacher Approved », regroupant toutes les applications approuvées par les professeurs[29].
Le , Google Play introduit les Play Points, qui permettent de profiter de réductions sur des jeux[réf. nécessaire].
Développé par | |
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Première version | Android Market : Google Play : |
Dernière version | 22.6.13-21 [0] [PR] 339915043 () |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android : smartphone, tablette tactile, montre connectée, Chromebook et Android TV |
Langues | Multilingues |
Type | Magasin d'applications, distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services gratuits et payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play |
Pour pouvoir avoir accès à Google Play, il est nécessaire de posséder et de s'authentifier par un compte Google. Si l'utilisateur n'en possède pas, il peut en créer un directement via l'application.
Google Play est accessible sous plusieurs formes :
Les applications de Google Play ne sont pas open source. Seuls les appareils certifiés par Google et ayant les caractéristiques techniques requises peuvent être vendus avec l'application Google Play (ou Android Market sur certains appareils anciens) après que le constructeur ait signé un accord de licence avec Google[30]. Dans le passé il était nécessaire pour un appareil de posséder une connectivité 3G ou 4G pour pouvoir être équipé de Google Play (Android Market à l'époque)[31], ce qui excluait les tablettes sans connectivité autre que le Wi-Fi, baladeurs et autres appareils concurrents de l'iPod touch d'Apple. Cette restriction a été levée en 2011 et le Samsung Galaxy Player a été le premier baladeur sous Android équipé de l'Android Market.
A ses débuts, Android Market n'installait pas automatiquement les applications. Contenues dans un fichier au format .apk (Android Package files), celles-ci devaient être installées par l'utilisateur, qui pouvait choisir de stopper l'installation.
Les applications sont installées dans la mémoire interne de l'appareil, y compris les mises à jour d'applications systèmes ; sous certaines conditions, l'application peut être installée sur un support externe, depuis Android 2.2[32].
Initialement, lors d'une mise à jour, Android Market téléchargeait l'intégralité de l'application (la nouvelle version écrasant l'ancienne)[33], manuellement ou automatiquement si l'utilisateur a autorisé cette fonction ou si l'application le permet car en cas de changements de droits d'accès par exemple la mise à jour doit se faire manuellement[34]. Depuis 2012, seuls les fichiers modifiés sont téléchargés, afin de rendre les mises à jour plus rapides, notamment pour les grosses applications, et d'économiser les données pour les forfaits ayant un faible quota. Ce dispositif, nommé « Smart App Delta » et disponible à partir d'Android 2.3, commence à être appliqué depuis fin de manière progressive[33]. Par exemple, l'application Instagram pèse 130 Mo tandis que la dernière mise à jour ne pèse que 30 Mo[33].
La suppression d'une application d'un appareil Android se fait de plusieurs façons[35] : dans le Play Store, depuis la liste des applications ou depuis la page de l'application, ou dans le menu paramètres du téléphone, dans la section Applications.
Le site internet de Google Play, accessible depuis la page d'accueil de Google via le bouton « Play » permet d'installer, mettre à jour ou supprimer une application à distance. Il permet aussi de gérer ses appareils et l'ensemble des contenus achetés (applications, livres, musique…)[36], de commenter et noter un produit et de le partager sur Google+ et Twitter. Les contenus sont triés selon des classements (À la une, Les plus rentables, Choix de l'équipe, etc. pour les applications ; Top des films, Staff picks, New releases pour les films ; Top payant, Nouveautés, Recommandations, etc. pour les livres) ou par catégories (Actualités, Météo, Jeux de courses, etc pour les applications ; Action, Humour, Documentaire, etc. pour les films ; Arts, Littérature pour les livres…).
Installée par défaut sur les appareils ayant reçu la certification, il permet comme pour le site web d'installer en choisissant de l'installer par données mobiles ou le Wi-Fi, mettre à jour ou supprimer une application, commenter un contenu et les contenus sont aussi classés selon les mêmes catégories. L'application permet aussi de partager une application en Bluetooth, par Mail, sur Facebook ou sur un service de stockage en ligne comme Google Drive. L'application permet aussi de filtrer les applications afin de bloquer certaines applications contenant des contenus violents ou à caractère érotique, ces paramètres peuvent être bloqués par le code PIN de l'appareil.
Une fonction secondaire, baptisée « Ma liste de souhaits » (« Wishlist » en anglais), permet à l'utilisateur de créer une liste des applications qu'il souhaite acquérir afin de les retrouver rapidement ultérieurement est disponible depuis fin [37].
Les cartes-cadeaux sont destinées à être offertes à des proches afin de pouvoir acheter des contenus sur Google Play (applications, livres, musique…). Un code est inscrit sur chaque carte, une fois rentré dans la boutique via la fonction « Utiliser » (« Redeem » en anglais) via Android ou via un site internet dédié[37].
Ce service est disponible dans quatre pays :
Depuis 2016, une nouvelle fonctionnalité, « bibliothèque famille », permet aux utilisateurs Android de partager les titres achetés (apps, jeux, musique, films, séries TV) dans une même famille. Cette modification est disponible sur des titres payants de Google Play.
En , un tribunal fédéral de Californie reconnaît le magasin d'application Google Play constitue un monopole illégal[40].
En octobre 2024, dans le litige que Google a avec Epic Games, le juge fédéral James Donato tranche en faveur du second. Aux États-Unis et pendant au moins 3 ans, à partir du 1er novembre 2024, Google n’est plus autorisé à bloquer le téléchargement de magasins d’applications tierces sur Android, et ceux-ci peuvent même être accueillis directement sur le Play Store. Par ailleurs, leurs développeurs ne sont plus obligés de verser une commission de 30% à Google ou d’utiliser la facturation et la tarification de Google Play. L’entreprise ne peut d’ailleurs plus payer des développeurs pour lancer leurs applications en avance ou exclusivement sur le Play Store ou encore les fabricants de smartphones et opérateurs téléphoniques pour préinstaller Google Play et empêcher l'installation de boutiques rivales. Enfin, la firme ne doit plus empêcher les développeurs de rediriger leurs clients vers des options de paiements externes (où les 30% de commission ne s’appliquent plus). Google fait aussitôt appel de cette décision, estimant qu'elle « nuir[a] aux consommateurs, aux développeurs et aux fabricants d'appareils américains »[41].
Google contrôle la liste des applications disponibles sur Play Store et en empêche l'accès à des applications qui peuvent entraver ses sources de revenus : - par la publicité, telles que Disconnect qui a porté plainte auprès de l'Union européenne[42], les applications AdBlock Plus en 2013 et AdBlock Fast en 2016[42]. - par son monopole sur la distribution de contenu, en créant systématiquement des obstacles pour empêcher les utilisateurs Android de télécharger d'autres magasins d'applications pour leur appareil depuis Google Play[43].
Ce contrôle, justifié par l'existence de problèmes potentiels de sécurité, est remis en cause par des utilisateurs ne souhaitant pas connecter de compte Google à leur smartphone Android et par certains développeurs qui ne publient volontairement pas leurs applications sur le Play Store en raison d'un désaccord envers les violations de la vie privée dont Google se rendrait coupable, telles que des conditions d'utilisation inacceptables ou la création de portes dérobées au sein des applications ; ceux-ci se tournent alors vers des magasins d'applications alternatifs tels que F-Droid, APKPure ou Aptoide[44].
Google prend une commission de 30 % sur le prix de vente des applications via Google Play. Les éditeurs protestent contre ce pourcentage qu'ils jugent excessif[45]. En septembre 2020, Google annonce que cette commission s'appliquera également et de manière obligatoire aux achats intégrés à l'application, qui pouvaient jusqu'ici faire l'objet de règlements par un autre canal[46].
La fonction première de Google Play, le téléchargement d'applications pour le système Android, est disponible dans plus d'une centaine de pays qui permet de télécharger plusieurs centaines de milliers d'applications gratuites ou payantes avec des prix pouvant aller de quelques centimes à plusieurs dizaines d'euros. Les applications disponibles sont très diverses comme des jeux tels que Angry Birds ou Grand Theft Auto III, des utilitaires comme Google Maps, Google Drive ou ES Explorateur de fichiers, des applications de réseaux sociaux comme Facebook, Google+ ou Twitter, des agrégateurs de flux d'actualités comme Flipboard, des écrans d'accueils alternatifs comme Go Launcher, ou même des applications nécessitant d'avoir rooté son appareil comme SuperSU qui est un gestionnaire de droits d'utilisateur root et des thèmes pour CyanogenMod ou MIUI qui sont des versions alternatives d'Android.
Au 4e trimestre 2017, Google Play a totalisé 19 milliards de téléchargements, à comparer au 9 milliards de l'Apple Store[55].
La sécurité des applications est mise en cause le , lorsqu'il est découvert qu'une des applications de l'Android Market, Jackeey Wallpaper, peut envoyer des données confidentielles (numéros de téléphones, par exemple) à un site internet chinois[56].
Le , Google a annoncé un durcissement des règles de publication des applications pour faire face à des dérives ayant été observées depuis plusieurs mois[57].
Ces nouvelles règles ont pour but d'éviter la mise en ligne d'applications contenant des virus, des applications ayant un nom et/ou une icône trop proche des applications système (Google+, YouTube…), des applications émettant des publicités dans les notifications ou rajoutant des raccourcis ou des favoris ou encore affichant des informations personnelles (carnet d'adresses…) à l'insu de l'utilisateur[58]. Un autre de ces changements est l'obligation d'utiliser Google Wallet pour le payement in-app des applications[59].
L'application de ces règles est immédiate pour les nouvelles applications et sous un délai de 30 jours pour les applications existantes sous peine de suppression définitive.
En aout 2017, Google annonce que les applications qui présentent des défauts de qualité pouvant nuire à leurs utilisateurs seront pénalisées[60].
Contrairement à l'App Store ou au Windows Phone Marketplace, Google ne met pas en place un processus de validation[61], seule une vérification des licences pour s'assurer du respect des droits d'auteurs est effectuée. Mais cette méthode pose des problèmes de sécurité car des applications malveillantes peuvent être publiées, lorsqu'elles sont découvertes, Google les supprime le plus vite possible[62]. Pour pallier ce problème, Google a mis en place fin 2011 et début 2012 un programme nommé « Bouncer » qui inspecte les applications publiées sur le Play Store pour détecter les malwares connus et si l'application effectue ou non des actions suspectes ; par la suite, les applications sont scannées de manière périodique et si nécessaire elles sont supprimées[61]. Ce nouveau système a permis de diminuer de 40 % le nombre d'applications problématiques selon Google[61].
Les développeurs d'applications payantes reçoivent 70 % du prix du logiciel, 30 % allant à Google[63]. Les revenus engendrés par les applications payantes sont redistribués aux développeurs via Google Checkout. Pour chaque nouveau développeur, 25 $ sont à fournir comme frais de dossier.
Développé par | |
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Première version | |
Dernière version | 8.25.8627-1.S () |
État du projet | L'application a été arrêtée définitivement |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android : smartphone et tablette tactile |
Langues | multilingue |
Type | Distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services gratuits et payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play Music |
Ce service a été lancé le et arrêté le pour être remplacé par YouTube Musique originellement sous le nom Google Music puis Google Play Music à partir du , permettait d'acheter des titres, jusqu'à une limite de 20 000 contre 1000 pour Amazon[64], issus des catalogues des labels EMI, Sony Music Entertainment, Universal Music Group et d'autres petits labels. Les titres achetés étaient consultables en ligne sur le site de Google Play sur téléphone mobile ou sur tablette tactile via l'application dédiée qui permettait de lire ses morceaux achetés depuis le cloud[36].
Le service permettait, en plus de lire les titres achetés sur la boutique, de télécharger sa propre bibliothèque afin de pouvoir les lire via l'application Play Music[65].
Un utilitaire du nom de Google Play Music Manager permettait de télécharger ses titres achetés sur son PC sous Windows, Mac OS ou Linux[66].
En , Google lance YouTube Music Key (en), un service payant de musique en streaming illimité et sans publicité proche de Spotify ou de Deezer, qui se différencie de ces deux autres services par la possibilité d’écouter toutes les vidéos musicales de YouTube.
Développé par | |
---|---|
Première version | |
Dernière version | 4.19.19 () |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android : smartphone et tablette tactile |
Langues | multilingue |
Type | Distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play Films & TV |
Google Play Films & TV est une vidéothèque numérique de Google qui permet de louer ou d'acheter des films et des émissions télévisées et qui concurrence l'iTunes Store d'Apple. Les contenus disponibles diffèrent selon les pays, en France les prix vont de 2,99 à 4,99 € selon l'ancienneté du film ou s'il est en basse ou haute définition. Les films mis à la location sont issus des catalogues de la Warner Bros., Walt Disney Pictures, Sony Pictures Entertainment et EuropaCorp avec des films tels que Tron : L'Héritage ou Real Steel, ou même des documentaires[68]. Après le paiement effectué, l'utilisateur a 30 jours pour lancer la lecture du film et 48 heures pour regarder le film sur son smartphone équipé d'Android 2.2 minimum ou de sa tablette équipée d'Android 3.2 minimum via l'application Play Films. Il est aussi possible de le visionner en streaming ou de le télécharger pour le regarder hors connexion[36]. Aux États-Unis, il est aussi possible de louer des émissions télévisées depuis le [69]. En , Google a annoncé un partenariat avec la 20th Century Fox pour la mise à disposition de plus de 600 films de son catalogue dont Prometheus, X-Men et Black Swan pour les utilisateurs américains dans un premier temps[70]. La possibilité d'acheter définitivement les films, disponible originellement aux États-Unis est progressivement déployée depuis dans d'autres pays comme l'Australie, le Canada, l'Espagne, la France et le Royaume-Uni, les tarif français s'élèvent à 13,99 € pour la plupart des films récent et 16,99 € pour leur version en haute définition[71].
Ce service a été lancé aux États-Unis en mai 2011 sous le nom Google Movies[72].
Un bug corrigé fin à la suite de la mise en place de la dernière version de l'application a touché les utilisateurs ayant « rooté » (s'autoriser les droits administrateurs via une modification système) ou utilisant CyanogenMod, empêchant de visionner les films loués sur leur appareil, un message indiquant « Aucune location disponible sur votre appareil, car il semble être en mode root. » empêchant l'accès. Le seul moyen de contourner ce bug étant de « dé-rooter » provisoirement l'appareil[73].
Le , Disney signe avec Apple et Google un accord pour que les vidéos achetées au travers de l'application Disney Movies Anywhere soient disponibles à la fois sur les plateformes iTunes et Google Play[74],[75],[76].
Pays[67] | Films | Date de lancement | Émissions télévisées | Date de lancement | Commentaires |
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Allemagne | oui | non | - | ||
Belgique | oui | non | - | ||
Philippines | oui | non | - | ||
Suisse | oui | non | - | ||
Ouganda | oui | non | - | ||
Biélorussie | oui | non | - | ||
Albanie | oui | non | - | ||
Argentine | oui | non | - | ||
Arménie | oui | non | - | ||
Azerbaïdjan | oui | non | - | ||
Croatie | oui | non | - | ||
République tchèque | oui | non | - | ||
Estonie | oui | non | - | ||
Grèce | oui | non | - | ||
Kazakhstan | oui | non | - | ||
Kirghizistan | oui | non | - | ||
Laos | oui | non | - | ||
Lettonie | oui | non | - | ||
Lituanie | oui | non | - | ||
Moldavie | oui | non | - | ||
Pologne | oui | non | - | ||
Slovaquie | oui | non | - | ||
Tadjikistan | oui | non | - | ||
Thaïlande | oui | non | - | ||
Turkménistan | oui | non | - | ||
Ouzbékistan | oui | non | - | ||
Bénin | oui | non | - | ||
Bosnie-Herzégovine | oui | non | - | ||
Chypre | oui | non | - | ||
Hongrie | oui | non | - | ||
Islande | oui | non | - | ||
Macédoine | oui | non | - | ||
Malte | oui | non | - | ||
Slovénie | oui | non | - | ||
Taïwan | oui | non | - | ||
Ukraine | oui | non | - | ||
Philippines | oui | non | - | ||
Suisse | oui | non | - | ||
Ouganda | oui | non | - | ||
Bolivie | oui | non | - | ||
Burkina Faso | oui | non | - | ||
Cambodge | oui | non | - | ||
Cap-Vert | oui | non | - | ||
Chili | oui | non | - | ||
Colombie | oui | non | - | ||
Costa Rica | oui | non | - | ||
Danemark | oui | non | - | ||
République dominicaine | oui | non | - | ||
Équateur | oui | non | - | ||
Salvador | oui | non | - | ||
Finlande | oui | non | - | ||
Gabon | oui | non | - | ||
Guatemala | oui | non | - | ||
Haïti | oui | non | - | ||
Honduras | oui | non | - | ||
Côte d'Ivoire | oui | non | - | ||
Luxembourg | oui | non | - | ||
Mali | oui | non | - | ||
Maurice | oui | non | - | ||
Namibie | oui | non | - | ||
Pays-Bas | oui | non | - | ||
Nicaragua | oui | non | - | ||
Niger | oui | non | - | ||
Norvège | oui | non | - | ||
Panama | oui | non | - | ||
Paraguay | oui | non | - | ||
Pérou | oui | non | - | ||
Portugal | oui | non | - | ||
Rwanda | oui | non | - | ||
Sénégal | oui | non | - | ||
Suède | oui | non | - | ||
Togo | oui | non | - | ||
Uruguay | oui | non | - | ||
Venezuela | oui | non | - | ||
Zambie | oui | non | - | ||
Aruba | oui | non | - | ||
Australie | oui | non | - | ||
Brésil | oui | non | - | ||
Canada | oui | oui | - | Sous le nom Google Movies. | |
Corée du Sud | oui |
non
|
- | ||
Espagne | oui | non | - | ||
États-Unis | oui | oui | Sous le nom Google Movies. | ||
France | oui | oui | |||
Inde | oui | non | - | ||
Japon | oui | oui | - | ||
Mexique | oui | non | - | ||
Italie | oui | non | - | ||
Irlande | oui | non | - | ||
Botswana | oui | non | - | ||
Antigua-et-Barbuda | oui | non | - | ||
Belize | oui | non | - | ||
Hong Kong | oui | non | - | ||
Jamaïque | oui | non | - | ||
Népal | oui | non | - | ||
Nouvelle-Zélande | oui | non | - | ||
Papouasie-Nouvelle-Guinée | oui | non | - | ||
Sri Lanka | oui | non | - | ||
Tanzanie | oui | non | - | ||
Trinité-et-Tobago | oui | non | - | ||
Zimbabwe | oui | non | - | ||
Royaume-Uni | oui | non | - | ||
Russie | oui | non | - |
Développé par | |
---|---|
Première version | |
Dernière version | 4.0.43.182609291 () |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android IOS : smartphone et tablette tactile |
Langues | multilingue |
Type | Distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services gratuits et payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play Livres |
Google Play Livres est une librairie numérique, liée au service Google Livres, mise en place par Google et qui concurrence le service Kindle d'Amazon, l'iTunes Store d'apple, Kobo ou Nook. Disposant d'un catalogue de plus de cinq millions d'ouvrages dont les tarifs vont de 99 centimes à 29 €[77], ainsi que certains ouvrages gratuits, notamment les ouvrages tombés dans le domaine public, disponibles dans la langue du pays concerné ainsi qu'en anglais[78]. Après l'achat effectué, l'utilisateur peut lire ses livres via le cloud sur son smartphone ou sa tablette équipée d'Android 2.2 au minimum via l'application Play Livres, sur les appareils d'Apple équipés d'iOS 4.0 et supérieur (l'iPod touch de première génération n'est pas supporté[79]), dans le navigateur sous Windows, Linux et Mac OS X. L'utilisateur peut aussi télécharger ses livres achetés sur le Play Store en format PDF ou ePub, ce dernier format permettant de lire le livre sur une liseuse compatible avec ce format[80]. L'éditeur peut choisir de mettre ou non des DRM, et peut les retirer à tout moment[81].
L'application Play Livres permet de choisir la façon de lire un livre via différentes fonctions comme le choix du mode nuit ou jour, de la lecture directement à partir d'un original numérisé ou via une mise en forme adaptée dite « Texte flottant »[36]. En , une mise à jour a ajouté de nombreuses fonctions comme le surlignage, l'ajout et l'édition de notes, la synchronisation des lectures entre plusieurs terminaux et l'accès à Google Maps (si l'application est installée sur l'appareil) en sélectionnant une ville ou un lieu et la possibilité d'accéder à son article Wikipédia ou d'effectuer une recherche sur internet via Google[82] Elle permet aussi l'importation de fichier PDF, la lecture audio des livres et l'utilisation d'un dictionnaire (aussi disponible hors-connexion).
Ce service a été lancé aux États-Unis le sous le nom Google eBookstore[83].
Pays[67] | Date de lancement | Commentaires |
---|---|---|
Allemagne | ||
Bolivie | ||
Belgique | date inconnue | |
Costa Rica | ||
République dominicaine | ||
Équateur | ||
Salvador | ||
Guatemala | ||
Honduras | ||
Nicaragua | ||
Panama | ||
Paraguay | ||
Uruguay | ||
Argentine | ||
Chili | ||
Colombie | ||
Pérou | ||
Turquie | ||
Afrique du Sud | ||
Suisse | ||
Venezuela | ||
Estonie | ||
Lituanie | ||
Lettonie | ||
Ukraine | ||
Australie | Sous le nom Google eBookstore. | |
Brésil | ||
Canada | Sous le nom Google eBookstore. | |
Corée du Sud | ||
Espagne | ||
États-Unis | Sous le nom Google eBookstore. | |
France | ||
Inde | ||
Italie
|
||
Japon | ||
Royaume-Uni | Sous le nom Google eBookstore. | |
Russie |
Développé par | |
---|---|
Première version | |
Dernière version | 5.21.1.20032110 () |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android : smartphone et tablette tactile |
Langues | multilingue |
Type | Distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play Kiosque |
Ce service permet d'acheter, pour une durée limitée, un magazine à l'unité pour un prix de 0,99 $ ou sous forme d'abonnement comme pour Cosmopolitan, Popular Science et Men Health[84]. Des offres d'essais gratuites de 14 jours existent pour certains magazines ; il est aussi possible, une seule fois, de sélectionner un magazine et de pouvoir le consulter gratuitement durant 30 jours[84].
Après l'achat effectué, l'utilisateur peut lire ses magazines via le cloud sur son smartphone ou sa tablette équipée d'Android 2.2 au minimum via l'application Play Magazines qui permet de choisir la façon de lire un magazine via différentes fonctions, comme pour Play Livres, comme le choix du mode de lecture directement à partir de la version PDF ou via une mise en forme adaptée façon ebook, de naviguer facilement entre les articles et permet de profiter de contenus enrichis comme la lecture de vidéos ou cliquer sur un titre de couverture pour aller directement à l'article désiré[84].
Pays[85] | Date de lancement | Commentaires |
---|---|---|
Allemagne | ||
Australie | ||
Canada | ||
Espagne | ||
États-Unis | [69] | |
France | ||
Royaume-Uni | ||
Russie |
Développé par | |
---|---|
Première version | |
Dernière version | 2020.03.16841 (303850759.303850759-000408) () |
Système d'exploitation | Android |
Environnement | Android : smartphone et tablette tactile |
Langues | multilingue |
Type | Game Center, distribution numérique |
Politique de distribution | Gratuit, distribution de services gratuits et payants |
Licence | Licence propriétaire |
Site web | Google Play Jeux |
Google Play Jeux fut lancé officiellement en 2013. Ce service permet à tous les utilisateurs de jouer à l'ensemble des jeux du Play Store compatibles avec le service. Il est relié directement à Google Drive afin de sauvegarder l'ensemble des jeux sur le Cloud du compte Google de l'utilisateur, via les services Google Play.
Ce service permet à tous les utilisateurs de débloquer des succès (appelés "réussites") pour progresser dans leur niveau, mais aussi d'utiliser le Web pour les classements en ligne ou en local. Le service permet aussi le multijoueur, afin de jouer à plusieurs sur un même jeu. Enfin, il permet de résoudre des quêtes dans un temps limité pour progresser.
Il est possible dans plusieurs pays d'acheter les appareils de la gamme « Nexus » et des « Chromebooks » avec des accessoires en option directement depuis Google Play[86].
Remarques :
Pays[86] | Nexus 4 | Nexus 7 | Nexus 10 | Commentaires | |
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Wi-Fi | Wi-Fi + 3G | ||||
Allemagne | oui | oui | oui | oui | |
Australie | oui | oui | oui | oui | |
Brésil | oui | non | non | non | |
Belgique | oui | oui | oui | oui | |
Canada | oui | oui | oui | oui | |
Corée du Sud | non | oui | non | non | |
Espagne | oui | oui | oui | oui | |
États-Unis | oui | oui | oui | oui | |
France | oui | oui | oui | oui | |
Inde | non | oui | non | non | |
Japon | oui | oui | oui | oui | |
Royaume-Uni | oui | oui | oui | oui |
Remarques :
Pays[86] | Chromebook Pixel | Samsung Chromebook | Acer C7 | Commentaires | |
---|---|---|---|---|---|
Wi-Fi | Wi-Fi + 4G LTE | ||||
Allemagne | non | non | non | oui | |
Australie | non | non | non | non | |
Brésil | non | non | non | non | |
Canada | non | non | non | non | |
Corée du Sud | non | non | non | non | |
Espagne | non | non | non | oui | |
États-Unis | oui | oui | oui | oui | |
France | non | non | oui | oui | |
Inde | non | non | non | non | |
Japon | non | non | non | non | |
Royaume-Uni | oui | non | oui | oui |
Il est possible de télécharger des applications et des jeux gratuitement dans 190 pays à travers le monde[90]. Toutefois, suivant les pays il n'est pas possible d'acheter des applications payantes, d'acheter ou télécharger des livres ou des magazines, louer des films ou des séries télévisées, d'acheter de la musique voir de ne pas pouvoir développer et vendre une application[67].
En 2009, des utilisateurs ont annoncé rencontrer des problèmes (ils ne pouvaient pas télécharger d'applications payantes) avec plusieurs opérateurs de réseau mobile virtuel en Autriche (BOB)[91] et en Espagne (Simyo et Jazztel mobile)[92]. Ce problème a été réglé en , des utilisateurs de ces opérateurs ayant rapportés que les applications payantes ont fini par s'afficher[92].
Note : Pour une question de lisibilité, le tableau ne reprend que les 132 pays ou il est possible d'acheter des applications payantes[90]. La colonne « Vente par les développeurs » liste les pays où les développeurs peuvent vendre leurs propres applications.
Pays/Région | Applications et jeux payants | Appareils | Magazines | Livres[93] | Films[94] | TV[94] | Musique[95] | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Achats par les utilisateurs[96] | Vente par les développeurs[97] | ||||||||
Albanie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Algérie | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Angola | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Antigua-et-Barbuda | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Argentine | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Arménie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Aruba | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Australie | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |
Autriche | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Azerbaïdjan | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Bahamas | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Bahreïn | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Bangladesh | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Biélorussie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Belgique | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Belize | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Bénin | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Bolivie | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Bosnie-Herzégovine | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Botswana | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Brésil | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Bulgarie | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Oui | |
Burkina Faso | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Cambodge | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Cameroun | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Canada | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |
Cap-Vert | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Chili | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Colombie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Costa Rica | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Croatie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Chypre | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
République tchèque | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Danemark | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
République dominicaine | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Équateur | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Égypte | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Salvador | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Estonie | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Fidji | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Finlande | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
France | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | oui | Oui | |
Gabon | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Allemagne | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Ghana | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Grèce | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Guatemala | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Guinée-Bissau | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Haïti | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Honduras | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Hong Kong | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Non | |
Hongrie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Islande | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Inde | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Non | |
Indonésie | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Non | Non | |
Irlande | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Israël | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Italie | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Côte d'Ivoire | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Jamaïque | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Japon | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Oui | Non | |
Jordanie | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Kazakhstan | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Kenya | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Koweït | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Kirghizistan | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Laos | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Lettonie | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Liban | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Lituanie | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Luxembourg | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Macédoine | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Malaisie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non | Non | Non | |
Mali | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Malte | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Maurice | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Mexique | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Moldavie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Maroc | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Mozambique | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Namibie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Népal | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Pays-Bas | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Antilles néerlandaises | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Nouvelle-Zélande | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Nicaragua | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Niger | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Nigeria | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Norvège | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Oman | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Pakistan | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Panama | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Papouasie-Nouvelle-Guinée | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Paraguay | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Pérou | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Philippines | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Oui | Non | Oui (sans accès illimité) | |
Pologne | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Portugal | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Qatar | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Roumanie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non | Non | Oui | |
Russie | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Rwanda | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Arabie saoudite | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Sénégal | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Serbie | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Oui | |
Singapour | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non | Non | Non | |
Slovaquie | Oui | Oui | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Slovénie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Oui | |
Afrique du Sud | Oui | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | Non | |
Corée du Sud | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Non | |
Espagne | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Sri Lanka | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Suède | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Suisse | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Taïwan | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Tadjikistan | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Tanzanie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Thaïlande | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Togo | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Trinité-et-Tobago | Oui | Non | Non | Oui | Non | Oui | Non | Non | |
Tunisie | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non | Non | Non | |
Turkménistan | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Ouganda | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Ukraine | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Émirats arabes unis | Oui | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Royaume-Uni | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |
États-Unis | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |
Uruguay | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Oui | |
Ouzbékistan | Oui | Non | Non | Non | Oui | Oui | Non | Non | |
Venezuela | Oui | Non | Non | Oui | Oui | Oui | Non | Oui | |
Viêt Nam | Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non | Non | Non | |
Yémen | Oui | Non | Non | Non | Non | Non | Non | Non | |
Zambie | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non | |
Zimbabwe | Oui | Non | Non | Non | Non | Oui | Non | Non |
En , la société Distimo publie une étude où elle démontre que l'Android Market est de loin la boutique proposant le plus d'applications gratuites : 57 % des applications sont gratuites. En comparaison, l'App Store sur iOS n'en dispose que de 28 %, un chiffre qui reste à peu près identique d'une plateforme à l'autre (Blackberry World, Nokia Ovi Store, Windows Phone Store, Samsung Apps), hormis l'Android Market[98]. En , le nombre d'applications gratuites sur l'Android Market était de 60 % contre 37 % en sur l'App Store d'Apple[49].
Google Play n'est, contrairement à l'App Store ou le Windows Phone Store sur leurs systèmes d'exploitation respectifs (iOS et Windows Phone), pas la seule boutique disponible pour Android. Il existe plusieurs boutiques alternatives, classés en deux grandes catégories[99] : Les « légaux », dont certains comme l'Amazon MarketPlace sont tenus par des grandes sociétés[99], pour les autres il existe GetJar qui permet pour une durée limitée, de rendre gratuites des applications dont les prix vont jusqu'à dix dollars[99] ou le service Appslib d'Archos qui est installé en remplacement de Google Play sur ses appareils, comme le font certains constructeurs dont les appareils n'ont pas reçu la certification Google. L'autre catégorie est celle des boutiques illégales, qui permettent de télécharger gratuitement des applications payantes piratées en toute illégalité[99]. En , le FBI, en collaboration avec les autorités françaises et néerlandaises, a fait fermer trois boutiques illégales, il s'agit des sites « App Bucket »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ), « Snappzmarket »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ) et « Applanet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ) ; comme pour le site Megaupload, le contenu a été remplacé par les sceaux du FBI et du département de la justice américaine[100].
Il existe d'autres boutiques qui elles viennent en complément de Google Play comme la Tegra zone qui permet aux possesseurs d'appareils compatibles de télécharger des jeux optimisés pour les processeurs Nvidia Tegra[101] ou au Playstation Store qui permettait à certains appareils de la gamme Xperia de Sony comme le Sony Ericsson Xperia Play ou les smartphones certifiés Playstation comme le Sony Xperia S d'accéder à des jeux Playstation[102]. Samsung propose aussi son service Samsung Galaxy Apps sur ses smartphones Android.