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Bruno Valentin | ||||||||
Bruno Valentin en 2019. | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Nom de naissance | Bruno Paul Marie Valentin | |||||||
Naissance | Nancy France |
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Ordination sacerdotale | par Jean-Charles Thomas | |||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Ordination épiscopale | par Éric Aumonier | |||||||
Dernier titre ou fonction | Évêque de Carcassonne et Narbonne | |||||||
Évêque de Carcassonne et Narbonne | ||||||||
Depuis le | ||||||||
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Évêque coadjuteur de Carcassonne et Narbonne | ||||||||
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Évêque auxiliaire de Versailles | ||||||||
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Évêque titulaire de Vaison | ||||||||
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« Pertransivit benefaciendo » (« Il est passé en faisant le bien ») (Ac 10,38) |
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(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
Bruno Valentin, né le à Nancy, est un prélat catholique français. Il est évêque de diocèse de Carcassonne et Narbonne.
Bruno Valentin est titulaire d'une licence de sciences-économie à l'université Paris-Dauphine. C'est principalement au cours des Journées mondiales de la jeunesse qu'il sent sa vocation à la prêtrise grandir[1].
En , il entre au séminaire de Versailles, puis poursuit ses études au Séminaire pontifical français de Rome. Il obtient par la suite un diplôme en théologie avec une spécialité en ecclésiologie en [2].
Il est ordonné prêtre pour le diocèse de Versailles le [3].
Il est successivement vicaire à Trappes, puis curé de Chatou et de Montigny-Voisins à partir de [1].
Le , il est nommé évêque auxiliaire de Versailles ; son ordination épiscopale a lieu le en la cathédrale Saint-Louis de Versailles[4].
Il publie en « Rebâtir ou laisser tomber ? L’Église au cœur », un ouvrage dans lequel il parle de l’Église qui menace ruine « Pendant que Notre-Dame brûlait, l’institution tout entière de l’Église menaçait ruine », il évoque aussi le célibat sacerdotal dont l'abandon[Note 1] ne serait pas une solution miracle, il combat le cléricalisme en appelant à « charité et mission »[5]
À la suite de la démission de Mgr Éric Aumonier le , il est élu le lendemain administrateur diocésain par le collège des consulteurs du diocèse[6] jusqu'à la nomination du nouvel évêque en , Luc Crepy.
Le , il est nommé évêque coadjuteur de Carcassonne et Narbonne, auprès d'Alain Planet[7]. Il est accueilli dans son nouveau diocèse le dimanche 9 octobre à l'occasion du rassemblement diocésain et d'une messe à l'Arena de Narbonne[8].
Le , Alain Planet annonce sa volonté de renoncer à son poste. Valentin lui succède en [9]. Il est installé le mardi saint, à 18h30 à la cathédrale Saint-Michel de Carcassonne[10].
En mars 2024, il fait face à une importante polémique à la suite des déclarations de l'abbé Luc Caraguel qui met en cause sa gouvernance[11],[12]. Le même mois il est élu responsable de la communication de l’Église de France au cours de l’Assemblée plénière des évêques de France à Lourdes[13].
Pendant les élections législatives de 2024, il fut l'un des rares évêques a communiquer sur ce sujet avec ses fidéles[14].
Il est le petit-fils de François Valentin (1909-1961), parlementaire de Meurthe et Moselle.[réf. nécessaire]
D’azur chapé ployé chargé d’une couronne d’épine d’or, et d’argent à deux plantes de nard fleuries et feuillées du premier posées en pal et issant des flancs du chapé[15].
La devise épiscopale est empruntée à la prédication de saint Pierre, disant à propos du Christ au centurion Corneille : « Il est passé en faisant le bien » (Ac 10,38).
Deux éléments symboliques figurent sur l’écu de Bruno Valentin :