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Cet article présente les faits marquants de l'année 1577 en santé et médecine.
Événements
14 août : arrêt du Parlement de Paris« interdisant aux marchands parisiens d'acheter du vin à l'intérieur d'un rayon de vingt lieues (88 km) et ce, pour empêcher que le vignoble envahisse l'Île-de-France au détriment des emblavures[1] ».
Nicolas Houël crée à Paris le jardin des simples qui vient d'être fondé par édit du et qui sera à l'origine du Jardin des apothicaires de la rue de l'Arbalète[2].
À Montpellier, l’hôpital Saint-Éloi, « établi à l’origine hors les murs, dans le faubourg de Lattes, est déplacé intra-muros en raison des guerres de Religion et de l’insécurité permanente[3] ».
↑Jean Pussot, Stefano Simiz (éd.) et Jérôme Buridant (éd.) (préf. Patrick Demouy), Journalier de Jean Pussot, maître-charpentier à Reims : 1568-1626, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 283 p. (ISBN978-2-85939-999-3, présentation en ligne), p. 38.
↑« Pharmacie et médecine d'antan, catalogue de l'exposition de Valenciennes, octobre-novembre 1972 », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 216, , p. 354-386 (lire en ligne, consulté le ).
↑Huit cents ans d'histoire de la médecine à Montpellier, mairie de Montpellier (lire en ligne), « L'Hôpital Saint-Éloi ».
↑(la) Jean Fernel, Ioannis Fernelii Ambiani, Febrium curandarum methodus generalis, Francofurti [à Francfort], apud Andream Wechelum [chez André Wechel], , 94 p. (lire en ligne).
↑(la) Jean Liébault, Thesaurus sanitatis paratu facilis, selectus ex variis authoribus ut sequens indicabit pagina, per Ioannem Liebaultium Divionensem, Parisiensem medicum, Parisiis [à Paris], apud Iacobum du Puys [chez Jacob du Puys], (lire en ligne).
↑(la) Antonio Mizauld, Harmonia superioris naturae mundi et inferioris, una cum admirabili foedere et sympatheia reru[m] utriusque, quibus annectuntur paradoxa doctrinae coelesti accomada, Antonio Mizaldo, Monluciensi, medico et mathematico, autore, Parisiis [à Paris], ex officina Federici Morelli, typographi regii [des ateliers de Fédéric Morel [l'Ancien], imprimeur du roi], , 144 p. (lire en ligne).
↑(it) Giuseppe Ongaro, « Liceti, Fortunio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 65, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑Joël Coste, « Un regard médical sur la société française de l'époque d'Henri IV et de Marie de Médicis : Thomas Sonnet de Courval (1577-1627), gentilhomme normand et médecin satirique », Dix-septième siècle, no 239, , p. 339-361 (lire en ligne).
↑« Riolan, Jean, fils », Base biographique, bibliothèques de l'université de Paris, s. d. [lire en ligne (page consultée le 24 avril 2021)].
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↑« Nicasius Ellebodius (1535-1577) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 25 avril 2021)].
↑(nl) A[ntal] L. I. Sivirsky, « Ellebodius, (H)elbau(l)t), Nicasius, humanist », dans Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 7, Bruxelles, Paleis der Academiën, (lire en ligne), col. 206-208.
↑(de) Gerhard Eis, « Bodenstein, Adam von », dans Neue Deutsche Biographie (NDB), vol. 2, Berlin, Duncker & Humblot, (ISBN3-428-00183-4, lire en ligne), p. 356.
↑(it) Cesare Preti, « Mattioli, Pietro Andrea », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 72, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑(it) Pietro Capparoni, « Santo, Mariano », dans Enciclopedia Italiana, Istituto Treccani, (lire en ligne).